L’énigme des « Extinctions de Masse » et des Chevauchements Géologiques

Les extinctions de masse sont souvent présentées comme des événements radicaux éliminant complètement certaines formes de vie, laissant place à des groupes entièrement nouveaux. Mais en réalité de nombreuses espèces survivent à travers plusieurs périodes géologiques et certains fossiles sont retrouvés dans des couches géologiques inattendues, perturbant la chronologie évolutionniste.

Le fait que des espèces chevauchent plusieurs périodes géologiques est cohérent avec l’idée que les fossiles ne représentent pas une chronologie évolutive, mais plutôt un enregistrement de catastrophes successives, où les groupes d’organismes sont emportés en fonction de leur zone écologique et de leur capacité adaptative durant le Déluge.

L’Extinction Permien-Trias

L’extinction de la fin du Permien (~252 millions d’années), souvent qualifiée de « Grande Mort », est considérée comme l’événement d’extinction le plus sévère de l’histoire géologique. On estime que 90 à 96 % des espèces marines et 70 % des vertébrés terrestres auraient disparu.

Cependant, plusieurs incohérences majeures dans les archives fossiles rendent son explication difficile dans le cadre de l’évolution. L’un des problèmes majeurs que rencontrent les évolutionnistes pour interpréter l’extinction Permien-Trias est que son déroulement est très complexe et irrégulier.

• De nombreux organismes marins du Permien étaient encore abondants jusqu’à la fin du dépôt permien, puis disparaissent soudainement.
• La vie terrestre est moins affectée par cette extinction, surtout les plantes, qui semblent s’éteindre plus progressivement sur une longue période, s’étendant jusqu’au Trias.
• Cela soulève une question clé : Pourquoi l’extinction est-elle si brutale pour les créatures marines et plus étalée pour les organismes terrestres ?
• De plus, il existe un décalage temporel entre les extinctions des animaux terrestres, des plantes et des créatures marines.

Si l’extinction était causée par un événement global unique (ex. éruption volcanique, impact d’astéroïde), on s’attendrait à voir une extinction cohérente à travers tous les écosystèmes. Or, les données fossiles montrent des différences de timing et d’impact selon les groupes biologiques.

Les scientifiques évolutionnistes ont proposé plusieurs hypothèses pour expliquer cette extinction, mais aucune ne répond totalement aux contradictions observées:

Hypothèse évolutionniste	Problèmes et incohérences
Éruptions volcaniques massives (trapps de Sibérie)	Pourquoi les éruptions auraient-elles causé une extinction marine brutale mais une extinction terrestre plus progressive ?
Réchauffement climatique rapide	Les plantes terrestres auraient dû être touchées bien plus rapidement que ce que les archives fossiles suggèrent.
Acidification des océans	Cela expliquerait l’extinction marine, mais pas pourquoi certaines espèces survivent bien après cet événement.
Impact d’astéroïde	Aucune preuve claire d’un impact massif à cette période n’a été trouvée.

Dans le cadre du modèle du Déluge global, les observations de l’extinction Permien-Trias trouvent une explication plus cohérente.

• Les couches fossiles ne représentent pas des millions d’années d’évolution, mais des dépôts cataclysmiques successifs liés au Déluge.
• L’extinction apparente de la faune marine est due à l’ensevelissement rapide des écosystèmes océaniques sous des sédiments massifs.
• La différence de timing entre les extinctions marines et terrestres s’explique par une zonation écologique :
  • Les organismes marins sont les premiers ensevelis sous les sédiments des tsunamis et des tempêtes océaniques du Déluge.
  • Les écosystèmes terrestres sont submergés plus tard, expliquant pourquoi les plantes et animaux terrestres semblent disparaître plus progressivement.

Ce modèle explique mieux pourquoi les extinctions marines sont soudaines et massives, pourquoi les extinctions terrestres sont plus progressives et fragmentées et pourquoi il existe un chevauchement de certains fossiles entre le Permien et le Trias.

Un problème auquel les scientifiques conventionnels sont confrontés concernant l’extinction Permien-Trias est la nature progressive de l’événement, basée sur des fossiles contradictoires et variables assignés à divers dépôts permien à travers le monde. En fait, un certain nombre de scientifiques ont affirmé qu’il y aurait eu plusieurs extinctions sur des millions d’années tout au long du Permien, menant à la grande extinction finale à la fin de cette période.

Critère	Vue évolutionniste (Arbre de la Vie)	Vue créationniste (Forêt de la Vie)
Extinction marine	Soudaine et inexpliquée	Ensevelissement rapide des écosystèmes marins
Extinction terrestre	Plus progressive et incohérente	Submersion progressive des écosystèmes terrestres
Décalage temporel entre extinctions	Inexplicable selon une catastrophe unique	Attendu dans un modèle de stratification
Hypothèse principale	Volcanisme, réchauffement, astéroïde (aucune preuve concluante)	Déluge global et dépôt successif des strates

L’Extinction Trias-Jurassique

L’extinction Trias-Jurassique marque la frontière entre les périodes Trias et Jurassique, supposément il y a environ 201 millions d’années. Elle est considérée comme l’un des grands événements d’extinction de l’ère du Phanérozoïque.

Cependant, cet événement soulève plusieurs incohérences majeures dans le cadre du modèle évolutionniste, notamment en raison de la sélectivité apparente des extinctions et du manque de cohérence entre les fossiles terrestres et marins.

Une Extinction Sélective et Inexpliquée

• Dans les océans, on estime que 23 à 34 % des genres marins ont disparu.
• Sur terre, plusieurs groupes de reptiles disparaissent du registre fossile.
• Le paradoxe est que certains groupes échappent mystérieusement à l’extinction :
  • Les Crocodylomorphes, pterosaures et dinosaures survivent et prospèrent.
  • Les mammifères et les plantes semblent relativement épargnés.
  • Les dinosaures deviennent dominants pour les 135 millions d’années suivantes (selon la chronologie évolutionniste).

Pourquoi certains groupes ont-ils survécu et prospéré alors que d’autres ont disparu ?

• L’extinction semble sélective et incohérente.
• Chez les vertébrés terrestres, il n’existe pas de connexion claire entre les espèces qui disparaissent et celles qui survivent.

Un événement d’extinction global devrait affecter tous les écosystèmes de manière cohérente. Or, les fossiles montrent un modèle erratique, où certains groupes sont décimés tandis que d’autres prospèrent sans explication claire.

Les évolutionnistes ont proposé plusieurs hypothèses pour expliquer cette extinction, mais aucune ne répond totalement aux contradictions observées :

Hypothèse évolutionniste	Problèmes et incohérences
Activité volcanique intense (Trapps centro-atlantiques)	Pourquoi certains groupes (dinosaures, crocodyliens, pterosaures) ont-ils survécu sans difficulté alors que d’autres ont disparu ?
Réchauffement climatique rapide	Les mammifères et les plantes auraient dû être plus affectés qu’ils ne le sont dans le registre fossile.
Impact d’astéroïde	Aucune preuve d’impact majeur n’a été trouvée pour cette période.
Désoxygénation des océans	Cela expliquerait l’extinction marine, mais pas pourquoi certains reptiles terrestres disparaissent et d’autres survivent.

Dans le cadre du modèle du Déluge global, les observations de l’extinction Trias-Jurassique trouvent une explication plus logique :

• L’extinction ne représente pas des millions d’années d’évolution et d’extinction progressive, mais des dépôts catastrophiques successifs du Déluge biblique.
• Les couches fossiles ne montrent pas une extinction progressive, mais plutôt une réorganisation écologique massive causée par des conditions hydrodynamiques et des submersions successives.
• La zonation écologique explique pourquoi certains groupes ont disparu en premier et d’autres ont survécu plus longtemps :
  • Les animaux marins, plus vulnérables aux perturbations des écosystèmes aquatiques, auraient été ensevelis en premier.
  • Les reptiles terrestres situés dans des zones côtières auraient été affectés plus rapidement que ceux habitant des milieux plus élevés.
  • Les mammifères et les plantes, mieux adaptés à certains environnements terrestres post-Déluge, auraient survécu et prospéré.

Pourquoi les dinosaures ont-ils dominé après cette extinction ?

Les dépôts du Déluge auraient progressivement recouvert certaines régions terrestres et déplacé les dinosaures dans de nouveaux habitats où ils se sont temporairement développés avant leur extinction définitive après le Déluge.

Critère	Vue évolutionniste (Arbre de la Vie)	Vue créationniste (Forêt de la Vie)
Extinction marine	Sélective et inexpliquée	Ensevelissement rapide des écosystèmes marins
Extinction terrestre	Incohérente et progressive	Submersion progressive des écosystèmes terrestres
Sélectivité des espèces survivantes	Mystérieuse (certains reptiles survivent, d’autres disparaissent)	Zones écologiques affectées différemment par la catastrophe
Hypothèse principale	Volcanisme, réchauffement, impact (aucune preuve concluante)	Déluge global et dépôt successif des strates

L’extinction Trias-Jurassique constitue un nouveau problème pour le darwinisme, qui peine à expliquer la sélectivité et l’incohérence des extinctions. En revanche, un modèle de dépôt catastrophique tel que le Déluge biblique fournit une explication bien plus cohérente aux observations fossiles.

L’Extinction Crétacé-Paléogène

L’extinction Crétacé-Paléogène (K-Pg, anciennement Crétacé-Tertiaire ou K-T) est l’événement d’extinction le plus célèbre, supposé avoir causé la disparition des dinosaures il y a environ 66 millions d’années.