Le Dessein Intelligent et la Genèse Biblique
Certaines personnes pensent qu’une création en 6 jours n’est pas compatible avec la science mais en y regardant de plus près il semblerait qu’une création rapide a été nécessaire. Quand on pense aux lois scientifiques fondamentales, un Créateur tout-puissant est nécessaire. Il a fallu que Dieu ordonne cet univers pour qu’il soit fonctionnel. Le modèle créationniste de la genèse est un modèle de dessein intelligent.
Une conception requiert une planification, une précision et un objectif déterminé. Une création rapide a dû sens dans l’optique d’un Dieu qui créé la terre pour qu’elle soit habitée. Il n’est pas cohérent que dans un tel objectif le Créateur ait attendu des milliards d’années pour que la vie apparaisse.
Il y a également du sens que la création n’ait pas eu lieu en 6 secondes parce que Dieu voulait montrer à l’homme à travers l’ordre de la création, le processus de la création, que la terre et l’homme étaient au centre de ses objectifs dans l’univers. Dieu a mis en place un modèle d’une semaine à 7 jours, 6 jours de travail et 1 jour de repos. Cela nous rend très humble et admiratif qu’il ait construit l’univers de telle manière que cela produit le modèle d’une semaine à 7 jours.
Il est intéressant que partout dans le monde, nous avons tous ce modèle de la semaine à 7 jours. Il est difficile de penser à une autre raison pour expliquer cette semaine mais cela a dû sens si la Bible dit la vérité.
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De l’ordre dans l’univers
La première loi de thermodynamique indique qu’on ne peut créer ou détruire l’énergie. Selon cette loi nous ne pouvons avoir ce monde que si Dieu l’a amené à l’existence. Cette première loi est donc compatible avec une création en 6 jours.
Nous avons ensuite la deuxième loi de thermodynamique qui indique que l’entropie et le désordre augmentent constamment dans l’univers. Cela implique que nous avons eu besoin de Dieu pour mettre de l’ordre dans cet univers au départ.
De manière intéressante les trois premiers jours de la création nous apprenons qu’il y a eu des séparations qui ont eu lieu. Le premier jour il y a une séparation entre l’obscurité et la lumière, le deuxième jour il y a la séparation d’entre les eaux du dessous et du dessus, au troisième jour nous avons la séparation entre la mer et la terre. La séparation est effectivement un processus d’ordonnancement dans l’univers car les scientifiques considèrent souvent que mélanger les choses consistent à amener du désordre.
Il est donc intéressant de noter que chaque jour de la création, Dieu amène de la matière et de l’ordre.
Le premier jour de la création
Le premier jour de la création, Dieu a conçu les fondations de la terre mais il a aussi conçu deux des éléments les plus importants dans l’univers – l’eau et la lumière. Ce qui est magnifique avec la lumière c’est sa capacité à transporter de l’énergie. La chaleur traverse des millions de kilomètres pour nous atteindre.
La lumière est également la raison pour laquelle nous vivons sur une terre aussi belle parce que la lumière contient toutes les couleurs de l’arc-en-ciel et l’une des choses les plus merveilleuses dans le monde dans lequel on vit c’est que ce dernier à un schéma de couleur idéal. Nous voyons un ciel bleu qui est en contraste avec les étendues vertes. Cela aurait été étrange si le ciel et la terre étaient bleus. Nous avons un schéma de couleur agréable avec des contrastes et en plus le bleu et le vert sont des couleurs apaisantes contrairement au rouge par exemple qui fait augmenter la tension. Nous avons donc un joli schéma de couleur et la meilleure explication est que cela a été conçu ainsi.
Quand on pense à la vie dans cette perspective cela signifie que le Grand Artisan Concepteur nous a non seulement donné la lumière pour des raisons fonctionnelles mais aussi pour des raisons esthétiques.
L’eau – élément essentiel de la conception divine
L’eau est un autre aspect très important de la création. Aux premiers abords l’eau semble être une chose très simple. L’eau a ce gros atome d’oxygène et deux petits atomes d’hydrogène. Cela semble simple mais l’eau est véritablement une substance miracle. L’eau est réglée pour rendre la vie possible.
L’Eau! Nous la buvons, se lavons avec, cuisinons avec, nageons dedans… Ce liquide clair, insipide et inodore fait tellement partie de nos vies que nous ne pensons presque jamais à ses propriétés étonnantes. Nous mourrions dans quelques jours sans eau et nos corps sont constitués à 65% d’eau. L’eau est nécessaire pour dissoudre les minéraux essentiels et l’oxygène, vider notre corps des déchets et transporter les nutriments dans le corps lorsque cela est nécessaire. L’eau est la seule substance qui possède ces propriétés.
À pression atmosphérique normale, l’eau n’est liquide que de 0 à 100 ° C . Il ne faut donc pas s’étonner que la Terre soit le seul endroit de l’univers connu pour avoir de l’eau liquide. Et cela dépend du bon type d’étoile – ni trop brillante ni trop sombre, et donc ni trop grande ni trop petite. Et la planète doit être à la bonne distance d’elle. L’agencement de la terre par rapport au soleil est une merveille d’ingénierie.
L’eau a une capacité thermique massique idéale – il s’agit d’une mesure qui indique combien d’énergie il faut pour changer la température de l’eau. Comme l’eau a une capacité thermique massique élevée cela signifie que nous pouvons conserver une température corporelle stable. Notre température ne varie pas à tel point de rendre la vie impossible. La capacité thermique massique de l’eau permet aussi de garder stable la température de l’eau des lacs et des mers. Cela permet également d’avoir un système climatique stable.
Cela signifie qu’il faut beaucoup d’énergie pour la chauffer (environ dix fois plus que la même masse de fer), et qu’elle doit perdre beaucoup d’énergie pour se refroidir. Ainsi, les vastes étendues d’eau sur terre aident à maintenir la température de la terre à un niveau assez stable. En revanche, les masses continentales se réchauffent et se refroidissent plus rapidement. Lorsqu’elles sont combinées avec la température assez constante des plans d’eau, c’est une bonne chose. Cela signifie que différentes parties de l’atmosphère sont chauffées différemment, ce qui génère du vent. Ceci est essentiel pour garder l’air frais.
Lorsque les liquides s’évaporent, ils aspirent la chaleur de leur environnement. Cela signifie que nous avons un moyen utile de rester au frais: transpirer. Une partie essentielle de ceci est la chaleur latente élevée de vaporisation de l’eau. Cela signifie qu’il faut beaucoup plus d’énergie pour évaporer l’eau que la plupart des autres liquides. Nous avons donc besoin de transpirer relativement peu d’eau pour rester au frais; si on devait transpirer presque n’importe quel autre liquide, la quantité dont nous aurions besoin serait énorme.
L’eau est l’une des choses les plus proches d’un «solvant universel». De nombreux minéraux et vitamines peuvent être transportés dans tout le corps après avoir été dissous. Les ions sodium et potassium dissous sont essentiels pour l’influx nerveux. L’eau dissout également les gaz, tels que l’oxygène de l’air, qui permet aux animaux aquatiques d’utiliser l’oxygène. L’eau, un composant majeur du sang, dissout également le dioxyde de carbone, un déchet de la production d’énergie dans toutes les cellules, et le transporte vers les poumons, où il peut être expiré.
Cependant, un solvant véritablement universel ne serait d’aucune utilité, car aucun récipient ne pourrait le stocker. Mais l’eau est repoussée par les composés huileux, nos cellules ont des membranes faites de ces derniers. Beaucoup de nos protéines ont des régions en partie huileuses, et elles ont tendance à se replier, repoussées par l’eau environnante. Ceci est en partie responsable des formes nombreuses et variées des protéines. Ces formes sont essentielles pour remplir des fonctions vitales pour la vie.
L’eau est une très belle conception et il ne s’agit pas que de sa capacité thermique massique, car elle gèle de haut en bas dans les lacs et les mers grâce à la manière dont la glace flotte dans l’eau, ce qui est une capacité très inhabituelle pour les liquides. Il s’agit d’une caractéristique cruciale car autrement la vie deviendrait impossible si elle gelait de bas en haut. C’est une des autres caractéristiques « réglées » et « intelligentes » de l’eau.
Le deuxième jour
Au deuxième jour, Dieu créé le système d’eau et le système climatique. Cela est très similaire à la façon dont un ingénieur travaille, il créé l’alimentation d’eau et l’évacuation d’eau. C’est ce qu’on voit au jour 2.
L’air – un autre composant essentiel de la conception divine
Lors de ce deuxième jour, Dieu créé l’atmosphère, laquelle est très importante pour protéger la terre. L’une des choses les plus magnifiques à propos de l’air c’est qu’elle peut absorber l’eau comme une éponge. L’air est une partie très importante du cycle de l’eau car quand la vapeur d’eau se condense, elle peut se condenser en nuage, on obtient ainsi un transport, les nuages peuvent voyager de la mer à la terre et ensuite nous avons des précipitations lorsque les gouttes d’eau deviennent assez grosses, la gravité les attire vers le sol et elles pénètrent dans le sol et ensuite la pression d’eau peut les ramener à la surface dans des sources, courants et rivières.
Ce qu’il y a également d’admirable avec le système d’eau c’est que Dieu a mis des sources et des courants partout sur la terre, ainsi peu importe où l’on se trouve nous ne sommes normalement jamais très loin d’un cours d’eau. C’est un aspect essentiel de la conception divine d’avoir placé de l’eau fraîche non loin de là où l’on habite.
La vapeur d’eau peut donc exister dans l’air car par exemple l’air a juste la bonne densité, l’air n’est pas trop dense de sorte que nous ne puissions pas courir à travers, il ne nous ralentit pas, mais l’air est suffisamment dense pour que les oiseaux puissent voler. Dieu a également mis la bonne quantité d’oxygène dans l’air pour que nous puissions vivre et respirer mais il n’en a pas mis trop pour que des feux prennent spontanément. L’air est également très pratique car il est transparent de sorte à ce que nous puissions voir à travers mais l’air peut aussi transmettre le son et les odeurs. Le scientifique créationniste Stuart Burgess raconte qu’il n’a jamais vu un ingénieur réussir à intégrer autant de fonctionnalités dans une substance comme l’air. Il s’agit d’une substance miracle.
Le troisième jour
Une fois les fondations de la terre réalisées, Dieu créé toutes les provisions dont l’homme aura besoin. Dieu crée de la « nourriture » au jour trois. Il s’agit des plantes qui vont devenir la nourriture des animaux, les arbres, les fleurs et les récoltes qui vont nous nourrir.
La magie des plantes
Les plantes semblent simples mais elles sont en réalité complexes. Les ingénieurs ne savent même pas créer un brin d’herbe parce que cela est trop compliqué. Quand on prend une plante dans les mains et qu’on observe sa couleur verte chatoyante il y a la chlorophylle qui produit par photosynthèse la nourriture pour les plantes, le glucose, cette nourriture deviendra la nourriture des animaux. Ce procédé de la photosynthèse est un processus incroyable où la chlorophylle dans la plante converti l’eau, la lumière du soleil et le dioxyde de carbone en cette nourriture de glucose. C’est un processus que les ingénieurs ne peuvent pas répliquer.
Quand on pense à la plante en elle-même, et comment la plante commence à partir d’une graine minuscule, nous pouvons être étonnés car toutes les informations sont contenues dans le code génétique de ces petites graines afin que des plantes puissent pousser. Quand on pense que cette graine est dans le sol, entouré de terre et qu’uniquement depuis ce sol, tous les nutriments dont elle a besoin sont là, les minéraux comme les nitrates et les phosphates. Ensemble avec l’eau et une foi qu’elle émerge du sol, elle reçoit la lumière et le dioxyde carbone dans l’air, tous ces simples ingrédients peuvent produire une belle plante, du blé ou des arbres.
C’est une chose incroyable que de penser au sol, à l’eau, au soleil, à l’air qui sont convertis dans ces plantes si utiles à l’homme et aux animaux.
Le monde est rempli de merveilleuses relations où une part de la création est reliée à une autre. Si on prend les plantes, elles font partie d’un cycle de nourriture complexe. Les plantes sont productrices, elles produisent du glucose, un élément important pour les animaux, les animaux sont eux des consommateurs primaires et nous avons ensuite les décomposeurs qui sont les bactéries et les champignons. Ces 3 groupes sont dépendants les uns des autres : producteurs > consommateurs > décomposeurs.
A côté du cycle de nourriture il y a d’autres cycles comme les cycles de gaz. Les plantes sont des producteurs nets d’oxygène, les animaux sont des consommateurs nets des oxygènes et des producteurs nets de dioxyde de carbone mais ensuite on nécessite des bactéries pour les nitrates dont les plantes ont besoin. On observe toutes ces relations et on pourrait encore parler des besoins en insectes pollinisateurs des plantes sachant que les insectes ont eux-mêmes besoin des plantes.
Il y a des myriades de cycles de gaz, de cycles de nourriture et d’inter liaison entre différentes parties dans la création.
La complexité irréductible
Le docteur Stuart Burgess parle des conceptions de systèmes et relate son expérience avec la conception d’engin spatial. Un engin spatial est un système complexe avec beaucoup de sous-systèmes. Il est impossible de faire évoluer un tel système de « bas en haut ». Il doit au contraire être conçu de « haut en bas ». Il serait ridicule de commencer avec les boulons, les écrous et les rondelles et espérer qu’un système complexe va émerger. La terre a un système bien plus complexe qu’un engin spatial.
Quand on écrit un programme information on ne commence pas avec une ligne par ici ou par-là, on commence avec une conception d’ensemble. Le Docteur Burgess travaille pour l’équipe olympique anglaise de vélo afin de développer la transmission. Il a conçu la chaîne de transmission et le pignon – l’entier système de transmission pour obtenir une haute efficacité en compétition mondiale ou olympique.
Dr Burgess indique qu’il a fallu concevoir un système de haut en bas. Une conception n’évolue pas graduellement, il faut imaginer les fonctions générales, le système entier et tous les sous-systèmes qui vont travailler ensemble pour produire les fonctions générales, et ensuite lorsque tous les systèmes sont en place, on peut concevoir les composants de ces systèmes et lorsqu’on rassemble toutes les pièces ensemble on obtient un système entièrement fonctionnel.
Ce que l’on observe dans un système de transmission de vélo est une complexité irréductible, ce qui signifie que beaucoup de pièces sont nécessaires simultanément pour qu’il y ait une fonctionnalité utile. Le vélo ne roule pas à moins que toutes les pièces soient correctement assemblées. Si un maillon se casse, le cycliste est à l’arrêt.
Nous vivons donc dans un monde complexe avec des écosystèmes complexes et des substances ingénieuses comme l’air et l’eau, tout est correctement ajusté, il suffit d’un changement minime dans ces propriétés et tout le système s’effondre. C’est pourquoi les preuves d’un dessein intelligent sont écrasantes sur terre comme dans l’univers tout entier. Il a forcément fallu un concepteur pour tout mettre en place et faire tous les ajustements.
Le processus évolutif est à l’opposé du travail d’un ingénieur avec un procédé qui fonctionne aléatoirement et pièce par pièce ici et là. Nous rencontrons dans la nature des mécanismes d’ingénierie, aussi bien chez les arbres, les insectes, que les animaux. On construit en ingénierie des roulements, des boîtes de vitesse, des structures, ils représentent tous des systèmes irréductibles. Ils n’ont pas pu évoluer pièce par pièce.
Une plante est un système irréductible parce qu’elle nécessite de produire de la nourriture pour vivre, mais elle ne peut produire à moins qu’elle n’ait la chlorophylle et les mécanismes pour produire par photosynthèse, tout dans la plante doit être correctement en place et il n’y a aucune preuve de plante évoluant étape par étape et on ne s’attend pas à trouver de telles preuves car on ne peut pas faire évoluer un système aussi complexe pièce par pièce. La plante a besoin du soleil, de la terre, des nutriments, de l’eau, l’air pour le cycle, cela est beaucoup trop complexe.
La puissance des arbres
Les arbres sont très beaux mais ils ont également de puissantes structures. Le bois contient de petites structures tubulaires qui sont structurellement très efficaces. L’un des aspects les plus étonnants est la croissance adaptative. Le bois a cette merveilleuse capacité où les cellules vont sentir s’il y a un trop grand stress dans le bois, ensuite elles vont développer des cellules supplémentaires pour compenser. Le bois peut sentir qu’il a besoin de se développer pour des raisons de force et de stabilité. Les ingénieurs aimeraient faire cela – produire un matériel qui pourrait produire du matériel supplémentaire quand il y un stress mais cela est trop difficile à produire. Les ingénieurs ne savent pas le faire jusqu’à présent.
Comparez un arbre à un gratte-ciel, souvent considéré comme un exemple suprême de réussite humaine. Un gratte-ciel commence par un plan, élaboré par une équipe d’architectes et d’ingénieurs. Même un très grand arbre commence par une minuscule graine, souvent pas plus grosse qu’une tête d’épingle. Mais il regorge d’informations programmées complexes qui contrôlent son développement en un géant vivant.
Il faut amener une montagne de matériaux tels que du ciment, du sable et de l’acier sur le site pour construire un gratte-ciel. Mais le plant d’arbre réalise la construction de son corps – le système racinaire, le tronc et la couronne – sur place, en utilisant simplement les matières premières qui l’entourent. Il utilise l’eau fournie par la pluie, le dioxyde de carbone et l’oxygène de l’air environnant et les nutriments dispersés dans le sol autour de ses racines.
Non seulement cela, mais l’énergie qui rend possible la construction de sa structure impressionnante n’a pas à être générée ailleurs et canalisée vers le chantier. L’énergie du soleil est captée par des organes spéciaux des arbres, appelés feuilles. Ces petites structures vertes et pour la plupart plates et coriaces contiennent des milliers d’usines minuscules mais très sophistiquées capables de capter l’énergie solaire et de la convertir en substances riches en énergie. L’arbre les utilise pour construire son corps et pour remplir ses nombreuses fonctions.
Ce processus, appelé photosynthèse, est de loin supérieur aux efforts similaires que l’humanité, avec toutes nos universités et instituts de recherche, a accomplis jusqu’à présent. Il utilise des composés organiques complexes et des structures si miniaturisées qu’elles sont invisibles à l’œil nu pour produire des sucres à haute énergie.
La matière première clé utilisée dans cette fixation d’énergie est le dioxyde de carbone. Il s’agit d’un «déchet» généré lorsqu’un animal ou une plante «brûle» des substances comme les sucres pour obtenir de l’énergie, comme c’est le cas lorsque des combustibles fossiles sont brûlés par les humains pour produire de l’électricité.
Dans nos économies, nous luttons contre le problème de l’élimination des déchets. Mais dans les arbres, cela est résolu de manière ordonnée et efficace par cette fixation de l’énergie solaire. Le sous-produit de ce processus est l’oxygène, qui est essentiel à la vie animale (et végétale). Il est libéré des feuilles de l’arbre dans l’atmosphère par les mêmes pores d’accès (stomates) à travers lesquels la matière première clé, le dioxyde de carbone, est absorbée.
Le quatrième jour
La Bible que Dieu est lumière, il n’a pas besoin du soleil pour produire de la lumière. Les trois premiers jours de la création Dieu a juste produit de la lumière de sa propre personne. Dieu cherchait peut-être à nous enseigner quelque chose à ce sujet – que la lumière ne provient pas que du soleil et qu’elle provient fondamentalement de lui-même.
Les étoiles de leur côté proclament la gloire de Dieu. Et comme Dieu a beaucoup de gloire, il faut beaucoup d’étoiles pour proclamer cela. Les étoiles sont également pour les signes et les saisons. Cela nous rend humble que Dieu a conçu les étoiles pour nous donner un système calendaire afin que l’on sache à quelle époque de la saison on est.
Les étoiles ont aussi été créés pour nous donner une belle vue. L’astronomie a récemment démontré que la position des étoiles est idéale pour nous donner une belle vue parce qu’il n’y a pas tant d’étoiles dans le ciel que le ciel est bondé d’étoiles et non trop peu pour que nous manquions d’avoir une belle vue.
Dieu nous a placé à l’endroit idéal dans la voie lactée pour avoir cette belle vue d’un ciel étoilé. Non seulement cela, mais notre galaxie en elle-même à une position pratique et idéale dans l’univers, nous ne sommes pas trop loin des galaxies à tel point que nous ne puissions les voir mais nous n’en sommes pas trop proches pour qu’elles nous renvoient trop de lumière
Le cinquième jour
Au jour 5, Dieu a créé les créatures marines et volantes. Cela a beaucoup de sens parce que la partie la plus importante de la création était l’homme qui devait venir au jour 6. Il y a donc une certaine logique à ce que Dieu ait rempli les autres zones avant que l’homme n’arrive.
La technologie du vol
Les oiseaux sont des œuvres d’ingénierie. Ils disposent d’une conception impressionnante d’efficacité. De bien des manières ils sont plus efficaces que les véhicules créés par l’homme. Ils ont un contrôle bien plus poussé que nos véhicules. On a par exemple mesuré l’inertie des ailes des mouettes, il s’agit du poids de rotation des ailes, l’inertie des ailes de mouettes est très bas parce que leur masse est très faible, les mouettes sont capables d’utiliser ce qu’on appelle un frein aérodynamique quand ils battent des ailes. Plutôt que de dépenser de l’énergie pour décélérer quand ils battent des ailes, ils laissent leurs muscles se relâcher et utilisent la résistance de l’air pour les freiner et cela rend les battements d’ailes plus efficaces.
Un autre aspect de conception optimale est lorsqu’on regarde le mécanisme osseux à l’intérieur d’une aile d’oiseau. Si l’oiseau utilise ses muscles pour bouger l’articulation du coude, il bouge automatiquement l’articulation du poignet et cela est très important car cela signifie qu’un oiseau peut déployer ses ailes très proprement, cela signifie également que les oiseaux ont besoin de très peu de muscles au niveau du poignet car le poignet peut bouger grâce au coude. Cela permet d’avoir des ailes légères et rend le vol très efficace.
Les oiseaux sont un autre exemple de complexité irréductible. Il faut avoir plusieurs composants et tous les sous-systèmes en place du premier coup pour que l’oiseau puisse voler. Les avions sont un bon exemple pour illustrer cela. Les frères wright n’ont pas construit les premiers avions avec des processus graduels, il a fallu dès le début avoir toutes les pièces, il fallait avoir les ailes aérodynamiques, les structures légères, les mécanismes de contrôle, et seulement quand toutes ces choses ont été assemblés correctement, a-t-on été capable de produire ce premier avion. Il a fallu beaucoup de créativité pour réussir cela.
De manière intéressante les frères Wright ont étudié les pigeons et ils ont raconté que cela leur a permis de comprendre comment produire un avion car ils avaient remarqué que les pigeons bougeaient leurs plumes de queue et cela était le point essentiel quand les frères Wright ont réalisé que lorsque l’avion virait il fallait une surface de contrôle compensatrice.
Les plumes de vol sont des caractéristiques remarquables. Lorsqu’un oiseau lève son aile, les plumes s’écartent pour laisser passer l’air et réduire la résistance. Mais en descente, les plumes se ferment complètement, améliorant ainsi considérablement la portance. Aussi, un oiseau peut varier la forme de ses ailes pour un décollage, un battement, un vol plané et un atterrissage plus efficaces.
Quand vous pensez aux merveilles du vol, quelles créatures vous viennent à l’esprit ? Peut-être des oiseaux majestueux comme l’aigle ou le faucon, dont le design élégant a inspiré des siècles de rêveurs comme Leonardo DaVinci et les frères Wright. Ou peut-être, avec un peu d’incitation, vous pourriez penser aux chauves-souris ou aux bourdons. Ou si vous avez récemment regardé un film sur les dinosaures, peut-être un reptile volant, comme le ptérosaure. Mais un poisson ?
Plus de soixante espèces de poissons peuvent échapper à leur monde aquatique et glisser dans les airs. Cette compétence inhabituelle leur permet d’échapper aux prédateurs sous-marins et de parcourir rapidement de grandes distances. Le vol commence lorsque ces poissons fouettent rapidement leur queue d’avant en arrière et se propulsent directement hors de l’eau. Une fois en vol, ils peuvent parcourir plus de 400 m, sautant à travers la surface à la vitesse incroyable de 70 km / h.
Les fossiles de poissons volants ressemblent à des variétés modernes, et ce n’est pas une surprise2. Depuis toujours, les poissons volants affichent leur capacité unique, donnée par Dieu, à la fois à nager et à planer.
La vie abondante du monde aquatique
Il est remarquable de réaliser la vie prolifique qui existe sous l’eau. L’une des choses qui a rendu les ingénieurs confus pendant des années est la raison pour laquelle les poissons peuvent nager aussi rapidement. Quand on considère les oiseaux, certains peuvent voler à une vitesse de 80 km/h mais il y a aussi des poissons comme le thon qui peut nager à la même vitesse. Cela est remarquable car la densité de l’eau est environ 1000 fois celle de l’air. La résistance au mouvement est proportionnelle à la densité, comment donc expliquer que les poissons puissent nager aussi rapidement. Ces dernières décennies, les ingénieurs ont étudié cette question en détail. Il s’avère que les poissons ont de remarquables propriétés qui leur permet de nager aussi vite.
Ils ont une forme très aérodynamique en forme de goutte, ils ont également une substance visqueuse sur leur corps qui est lisse et les aide à glisser à travers l’eau, ils sont également remplis de muscles, comme ils sont flottants dans l’eau ils peuvent être conçus de sorte à avoir des muscles de l’avant à l’arrière, ils ont des muscles très puissants, ils nagent de manière très efficace, le résultat final est qu’il nage très rapidement. Les ingénieurs étudient leurs caractéristiques pour voir s’ils peuvent en concevoir certaines afin de créer de meilleurs bateaux.
Le dessein intelligent et l’information
On peut comparer les ordinateurs aux cellules dans le sens où les deux font des calculs mais une cellule se maintient en équilibre avec son environnement en convertissant de la matière brute qu’elle peut utiliser. Elle stocke et transfère de l’information, elle transporte sélectivement à travers sa barrière entre elle-même et l’environnement. Elle fait des copies d’elle-même, voici donc un challenge à relever – construire un ordinateur qui a un compartiment qui construit des ordinateurs. Voilà une tâche qui prendrait un long moment. Quand on pense donc au degré relatif de complexité et aux prouesses de l’ingénierie, on peut considérer une bactérie E. coli comme plus complexe que n’importe quel ordinateur.
En temps réel, elle évalue son environnement, prend les matières premières, élimine les déchets, et fait des choses que les machines, aussi élégantes et puissantes qu’elles sont, ne sont au final que des calculateurs rapides et qui sans alimentation électrique perdent toutes capacités. Les systèmes biologiques sont plus complexes de plusieurs ordres de grandeur par rapport à nos meilleures machines, qui elles déjà, ont nécessité nos meilleures intelligences.
Le dessein intelligent fait partie intégrante du modèle de la Genèse. Nous avons sur terre des machines et des ordinateurs très puissants, capable d’opérer des calculs très rapidement. Mais cela n’est qu’une infime partie de la réalité physique.
Imaginons que nous devons concevoir une planète – une planète fonctionnelle, qui va être peuplée de millions d’espèces diverses qui devront interagir. Lorsqu’on fait la somme des paramètres d’ingénierie, nous allons avoir besoin d’une intelligence à même de visualiser toutes sortes de contraintes et de besoins qui devront être conjointement satisfaits pour avoir une planète fonctionnelle.
Alors que nous passons de superordinateur à cellule, de cellule à espèce, d’espèce à écosystème, d’écosystème à système planétaire, le nombre de paramètres explose et on peut voir que la cause dont on a besoin doit être une super intelligence d’un ordre que nous pouvons difficilement commencer à saisir. Nous savons juste que cette cause doit être un esprit, une intelligence.
La rationalité de base sous-tend l’inférence qu’un paradigme qui va expliquer l’origine de la planète que nous habitons avec toute la vie qu’elle contient, et dans un système solaire où la position de la terre est juste là où elle doit être pour avoir de l’eau, dans les trois phases, étant donné notre distance du soleil et ainsi de suite, cela représente une tâche d’ingénierie de premier ordre, et le paradigme qui a l’intention de répondre à cette question des origines va devoir gérer plus d’une question complexe, d’où vient la planète ? Comment le soleil s’est formé ? Il faut expliquer l’information contenue dans chaque être vivant, quelle en est l’origine ? ce code ADN incompressible que l’on ne peut pas obtenir à partir d’un algorithme.
Si on a besoin de la séquence d’ADN pour une seule protéine, on a besoin de la séquence entière, cela représente beaucoup d’informations et pour toute cellule fonctionnelle que nous connaissons, on nécessite dans l’ordre 350 protéines distinctes, tout un tas d’ARN, et ainsi de suite, le problème explose, la chose rationnelle à déduire de tout ce que nous observons dans le monde vivant, c’est que quelle qu’en soit la cause, elle doit être un esprit, une intelligence, un esprit puissant et omniscient et cela ressemble beaucoup à Dieu.
La complexité VS l’évolution graduelle
Le fonctionnement graduel et lent de l’évolution est factuellement impossible et des expériences le démontrent. Il y a quelques années Craig Venter faisait la synthèse d’une molécule d’ADN pour amorcer l’existence d’une cellule et ils ont inséré ce brin d’ADN d’environ un million de paires de bases de long dans une membrane, et cela ne fonctionnait pas. Ils se sont donc mis à vérifier ce qui n’allait pas, il y avait une seule erreur, 999 999 paires de base étaient correctes mais 1 était incorrecte, il s’agissait d’une protéine essentielle et les cellules ne pouvaient pas fonctionner, elles étaient complètement mortes. Cela nous indique que pour une seule cellule il faut avoir tous les composants sachant qu’une cellule ne fonctionne pas toute seule.
Quand on pense à un écosystème qui a de multiples composants interagissant, tous étant nécessaires pour que l’écosystème fonctionne entièrement, si on ramène cela à l’échelle de la planète, il semblerait que l’on puisse puissamment argumenter que pour avoir une planète fonctionnelle qui peut maintenir la vie, il y a d’innombrables composants indépendants qui doivent être présents conjointement et simultanément. Cela requiert un ensemble de designs simultané.
S’il apparaît impossible qu’un ordinateur ou qu’une maison vienne à l’existence tout seul, à quel point cela est le cas avec la planète et la vie qu’elle contient ? Une rationalité basique doit mener à l’inférence d’une conclusion d’un dessein intelligent. Cela serait la seule réponse rationnelle si nous n’avions le paradigme opposé qui cherche à tout expliquer avec des processus physiques.
Que penser de l’évolution théiste ? On ne peut pas servir deux maîtres. Si on comprend vraiment ce qu’est la théorie de l’évolution comme elle est enseignée aujourd’hui, elle comporte un élément essentiel de hasard, de phénomènes aléatoires, cette notion est présente au cœur de l’évolution. Un biologiste évolutionniste dira que lorsque la vie a commencé, personne n’aurait pu s’attendre que 3.5 milliards d’années après, les homo-sapiens allaient apparaître sur terre.
La Bible dit que Dieu connait jusqu’à le nombre de cheveux sur nos têtes. Il sait quand on va naître, comment nous allons être, et quelle est notre destinée. Quand on prend donc ce procédé essentiellement aléatoire et qu’on essaie de le marier à un Dieu qui connait toute chose, véritablement ces deux idées n’ont rien à voir l’une avec l’autre, parce que fondamentalement il s’agit de deux visions complètement séparées de l’univers et de la réalité.
La science, loin d’avoir prouvé l’évolution a en réalité révélé ces faiblesses et lacunes et il n’y a aucune raison d’essayer de marier le christianisme à une théorie en échec.
Le paradigme conventionnel à fini sa course. De Darwin à aujourd’hui, le nombre de puzzles qui s’est accumulé juste en biologie, a véritablement projeté l’évolution à un point critique. Ce qui le conserve pour le moment n’est pas vraiment la puissance de sa théorie mais ses fondements philosophiques.
Les preuves qui s’accumulent et qui vont continuer de s’accumuler ne penchent pas en faveur du paradigme conventionnel, mais elles révèlent de manière indisputable le dessein intelligent.
A l’époque de Darwin les cellules étaient considérées comme des petits sacs de protoplasme. Une sorte de gelée vivante. En fait, le terme protoplasme a été inventé à peu près à l’époque des Origines des espèces de Darwin. Darwin pensait qu’il fallait juste avoir quelques éléments dans les bonnes circonstances, ce qu’il appelait une soupe chimique chaude, il suffisait alors de lui donner un coup d’énergie et une cellule pouvait se former. Nous étions alors au milieu du 19ème siècle. Ce qui s’est passé depuis lors, c’est que la chimie non assistée a en quelque sorte rebondi là où elle était au 19ème siècle, mais la cible à expliquer, une cellule réelle est hors de portée du hasard. La complexité d’une seule cellule est inexplicable dans un processus aléatoire.
Après 150 ans d’accumulation de savoir en biologie cellulaire à propos de ce que signifie être vivant, la tâche à expliquer est complètement hors de portée. Dans une telle situation, il faut changer sa façon de penser le monde, la science n’est pas immobile, nous en savons beaucoup plus aujourd’hui, et ce que nous savons indique que si nous voulons avoir une cellule ou une chose vivante nous avons besoin d’une cause qui puisse nous donner de l’information, plusieurs systèmes intégrés, et tous au même moment et cela ressemble fort à un esprit créatif concepteur.
Le dessein intelligent la genèse biblique
Le paradigme historique de la Genèse qui fait usage de l’histoire et de la science, se révèle être un paradigme beaucoup plus convaincant. Il est bien adapté à la tâche et donne beaucoup plus de liberté pour investiguer le monde à la lumière de tout ce qu’il s’est produit et de ce qu’on observe.
Si les preuves nécessitent une cause qui puisse amener la planète à l’existence avec une multitude d’organismes, un biote fonctionnel, une écosphère mondiale fonctionnelle dont on a réellement besoin, nous avons la liberté de faire appel à ce genre de cause qui ne va pas être un processus physique mais plutôt une intelligence puissante avec de la créativité et de l’humour. La cause qui a créé les pandas devait avoir un sens de l’humour.
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