Pourquoi le Tigre et le Chat sont dans le même baramin et pas l’Humain et le Chimpanzé?
Je vais essayer d’expliquer pourquoi on regroupe chat et tigre dans un même groupe même en l’absence de reproduction. Contrairement aux accusations d’arbitraire, le regroupement des chats et tigres (Felidae) dans des baramins communs repose sur des continuums morphologiques, génétiques et parfois reproductifs solides.
Chez les félins, on observe un continuum reproductif:
Tous les félins (du tigre au chat domestique) peuvent être reliés par chaîne d’hybrides documentés.
Exemple-clé : Tigre → Lion → Léopard → Puma → Ocelot → Margay → Chat domestique → Chat à pieds noirs.

feline basic type – JOURNAL OF CREATION 25(2) 2011
Ainsi, même si le chat domestique et le tigre ne s’hybrident pas directement (notamment à cause de la taille, du poids et des comportements), ils sont reliés via des ponts intermédiaires reproductifs et morphologiques. Le tout s’inscrit dans un cadre génétique commun et une morphologie très conservée au sein des félins.

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En baraminologie, ces réseaux de continuité justifient le regroupement dans un même « genre créé ». À l’inverse, l’homme et le chimpanzé, malgré leur proximité apparente, sont séparés par des ruptures fonctionnelles, morphologiques et spirituelles majeures, et aucun pont intermédiaire reproductif ou génomique direct n’a jamais été observé.


Je pense que n’importe qui observant un chat et un tigre reconnait instinctivement qu’ils sont du même groupe (même silhouette, même démarche etc…). Par contre quand on regarde un chimpanzé et un humain on observe des différences colossales.
Ainsi, les baramins ne sont pas définis par un seuil arbitraire, mais par l’absence ou la présence d’un continuum significatif, reproductif, morphologique ou fonctionnel.
Il n’existe pas de vrai continuum morphologique entre l’homme et le chimpanzé, comme on en observe entre le chat et le tigre. Malgré la proximité génétique souvent invoquée (de 85% et non de 98-99%), les différences morphologiques, fonctionnelles et comportementales entre humains et chimpanzés sont profondes, multidimensionnelles et discontinues.
Le continuum morphologique entre chat et tigre est clair: même squelette, posture quadrupède, comportements similaires, et hybridations possibles via des intermédiaires (léopard, puma, ocelot…). Les différences tiennent surtout à la taille ou au pelage, sans rupture structurelle. On peut dire qu’un tigre est un « gros chat » et un chat un « petit tigre ».
En revanche, entre humain et chimpanzé, les discontinuités sont nettes: posture, bassin, cerveau, langage, culture, larynx, main, menton, colonne vertébrale… Rien de progressif ou graduel. Aucun hybride, ni fossile consensuel ne comble cet écart. Ce n’est pas un continuum, mais une fracture morpho-fonctionnelle.
L’Australopithèque est-il l’ancêtre de l’homme?
Alors que le chat et le tigre forment un éventail fluide et morphologiquement continu, l’homme et le chimpanzé sont morphologiquement disjoints sur des points fondamentaux, bien au-delà d’une simple variation de taille ou de pelage.
Cela justifie pleinement, dans un cadre baraminologique, leur séparation dans des baramins distincts, là où les félins peuvent être raisonnablement regroupés.
La similarité génétique n’est pas un critère décisif en baraminologie. Des animaux très différents comme le cheval et la chauve-souris ou l’éléphant et la taupe dorée sont classés ensemble par la génétique moléculaire, mais rien dans leur biologie, morphologie ou écologie ne justifie un lien aussi proche. À l’inverse, des groupes comme les félins montrent une variation considérable avec des formes intermédiaires et reproductibles, justifiant leur unité.
L’homme et le chimpanzé, malgré certaines similarités moléculaires, présentent des ruptures fonctionnelles et comportementales majeures. Ce ne sont donc pas les pourcentages de ressemblance qui comptent, mais la nature des différences.
La Bible est considérée comme historiquement fiable, transmise avec soin, confirmée par l’archéologie et la cohérence interne. Elle ne laisse aucune place à une ascendance animale de l’homme. La séparation homme-animal est donc ontologique en plus d’être biologique.

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