La Complexité et le Réglage Précis de l’Univers – Créationnisme
La Terre a-t-elle été créée ? Ou a-t-elle procédé par chance en évoluant ? Le dessein intelligent dans l’univers et sur terre semble militer en faveur de l’existence du créateur, d’une super intelligence! Nous avons deux modèles pour expliquer l’origine de l’Univers et de la Terre: le modèle créationniste et le modèle évolutif.
Aucun de ces modèles ne peut être recrées en laboratoire. La science des origines est une science historique, elle n’a rien à voir avec la science expérimentale ou observationnelle. Par contre, ce que nous pouvons faire pour apprécier la pertinence des deux modèles, c’est observer l’univers tel qu’il est. A quoi ressemble-t-il ? Au produit du hasard ou d’une intelligence? C’est ce que nous allons analyser dans cet article.
Les lois de la nature sont des constantes qui étaient les mêmes hier, sont les mêmes aujourd’hui, et seront les mêmes demain. Pourquoi cela ne change-t-il pas? Ce sont des constantes réglées, qui n’évoluent pas.
L’univers avec tout ce qu’il contient fonctionne sur la base de règles et lois très précises. D’infimes variations peuvent provoquer son effondrement et rendre la vie impossible sur terre.
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Le fait que l’univers soit réglé et maintenu en fonctionnement via de nombreux paramètres fragiles et précis est un argument puissant en faveur de l’existence de Dieu.
En effet, la multitude de paramètres qui doivent se coordonner et fonctionner de concert laisse peu de place à la chance et au hasard.La création est évidente. La terre a été conçue pour la vie. Elle orbite autour du soleil à la bonne distance, dans la zone de boucles d’or où l’eau liquide peut exister.
Les caractéristiques du soleil
La distance au soleil est précisément adaptée pour le cycle de l’eau. S’il était un peu plus proche l’eau s’évaporerait, s’il était un peu plus loin, la terre deviendrait une boule de glace.
Le soleil a une masse adaptée. S’il était plus gros sa luminosité changerait trop rapidement, et il y aurait trop de rayonnement à haute énergie.
S’il était plus petit, sa portée réduite nécessiterait que les planètes pouvant accueillir la vie soient plus proches, ce qui entrainerait des perturbations au niveau de la rotation de planète à cause des forces de marée.
Le rayonnement UV serait également inadéquat pour la photosynthèse.
Notre soleil est de la bonne couleur. S’il était plus rouge ou plus bleu, la réponse photosynthétique serait plus faible. La photosynthèse est le processus bioénergétique qui permet à des organismes de synthétiser de la matière organique en utilisant l’énergie lumineuse.
Le soleil est parmi les milliers d’étoiles, la seule qui puisse rendre possible la vie, sa taille, sa densité, sa température et la nature de ses rayons permettent à la vie d’exister sur terre.
Notre soleil est également remarquablement stable. Imaginons si celui-ci variait comme d’autres soleils de quelques pourcents voire plus. La vie aurait tout de suite été impossible.
La Terre serait-elle positionnée au centre de l’univers?
Edwin Hubble a découvert des choses remarquables, que dans toutes les directions observées, plus les étoiles et les galaxies étaient éloignées, plus la lumière reçue d’elles était décalée vers le rouge.
Si dans toutes les directions les objets semblent s’éloigner de nous, cela nous place quelque part au centre de l’univers. Voici la réaction d’Edwin Hubble :
«Une telle condition (décalage vers le rouge) impliquerait que nous occupions une position unique dans l’univers … Mais la supposition indésirable d’un emplacement privilégié doit être évitée à tout prix et est intolérable …
… tous les observateurs, quel que soit leur emplacement, verront la même image générale de l’univers … Ce principe est une simple hypothèse.
Cependant, l’hypothèse est retenue. Il ne doit pas y avoir de lieu privilégié dans l’univers, pas de centre, pas de frontière, tout doit être pareil de n’importe quel point de l’univers1. »
C’est une position philosophique. Hubble n’aimait tout simplement pas ce que les données lui disaient. C’est le principe cosmologique: que la terre n’est pas spéciale. On ne veut pas qu’elle soit spéciale parce que si elle est, elle a alors peut-être été créée, et il y a donc un créateur, ce qui n’est pas une bonne idée pour les naturalistes qui ne veulent pas de cela.
Environ un demi-million de galaxies ont été étudiées et si l’explosion du big bang était vraie, on s’attendrait à observer une dispersion aléatoire générale des galaxies dans tout l’univers, mais au lieu de cela, elle est extrêmement grumeleuse. Il existe des groupes de galaxies espacées à distance régulière de la terre.
Le professeur John Hartnett qui est un cosmologiste éminent a fait une analyse sur le Sloan Digital Sky Survey (SDSS) et il a trouvé qu’il y a une série de cercle concentrique qui correspondent aux données de notre galaxie de la voie lactée comme étant au centre ou près du centre de l’univers.
Une citation de John Rennie, écrivain scientifique :
Il y a donc 11 ans, lorsque les astronomes ont soudainement réalisé que l’univers n’était pas seulement en expansion mais qu’il accélérait dans son expansion, la plupart d’entre eux ont conclu qu’une force antigravité autrement indétectable, une «énergie sombre» écartait les galaxies.
Une autre possibilité, cependant, peut expliquer les observations comme un coup de chance de la géométrie cosmologique.
Elle évite d’invoquer l’énergie noire comme cause ad hoc mais au prix de rejeter le principe copernicien: grosso modo, elle replace la Terre, ou du moins notre galaxie, au centre de l’univers observable John Rennie 2
Une autre citation de Stephen Hawking qui révèle que la vision de la terre qui indique qu’elle ne serait pas au centre de l’univers n’est qu’une préférence évolutionniste.
À première vue, toutes ces preuves que l’univers a la même apparence, quelle que soit la direction dans laquelle nous regardons, semblent suggérer qu’il y a quelque chose de spécial au sujet de notre place dans l’univers.
En particulier, il pourrait sembler que si nous observons que toutes les autres galaxies s’éloignent de nous, alors nous devons être au centre de l’univers.
Il y a, cependant, une explication alternative: l’univers pourrait avoir la même apparence dans toutes les directions comme vu de n’importe quelle autre galaxie. … Nous n’avons aucune preuve scientifique pour ou contre cette hypothèse.
Nous ne le croyons que pour des raisons de modestie: ce serait plus remarquable si l’univers avait la même apparence dans toutes les directions autour de nous, mais pas autour d’autres points de l’univers! 3
Une autre citation de Timothy Clifton et de Pedro G. Ferreira:
«… L’existence de l’énergie noire est encore tellement déroutante que certains cosmologistes revisitent les postulats fondamentaux qui les ont amenés à déduire son existence en premier lieu.
L’un d’eux est le produit de cette révolution antérieure: le principe copernicien, selon lequel la Terre n’est pas dans une position centrale ou autrement spéciale dans l’univers.
Si nous rejetons ce principe de base, une image étonnamment différente de ce qui pourrait expliquer les observations émerge.
La plupart d’entre nous sont très familiers avec l’idée que notre planète n’est rien de plus qu’un minuscule grain en orbite autour d’une étoile typique, quelque part près du bord d’une galaxie autrement sans valeur.
Au milieu d’un univers peuplé de milliards de galaxies qui s’étendent jusqu’à notre horizon cosmique, nous sommes amenés à croire qu’il n’y a rien de spécial ou d’unique dans notre localisation. Mais quelle est la preuve de cette humilité cosmique ?
Et comment pourrions-nous savoir si nous sommes dans un endroit spécial? Les astronomes l’ignorent généralement, en supposant que notre propre typicité est suffisamment évidente pour ne nécessiter aucune discussion supplémentaire.
Entretenir l’idée que nous pouvons, en fait, avoir un emplacement spécial dans l’univers est, pour beaucoup, impensable. 4
La rotation de la terre et son inclinaison
La terre tourne sur elle-même en 24h, si cette rotation était plus lente, un coté de la terre serait exposé trop longtemps au soleil, la vie deviendrait impossible, nous serions également perturbés si cette rotation était plus rapide.
Sans une inclinaison de 23 degrés de la terre il n’y aurait pas les 4 saisons. Cette inclinaison permet qu’aucun côté de la terre ne soit trop froid ou trop chaud pendant trop longtemps.
Alors que la lune est verrouillée par effet de marée et qu’elle présente toujours la même face à la terre, nous avons de la chance que la terre, elle, ne soit pas verrouillée sur le soleil, autrement un côté serait brûlé, et un autre gelé.
Les caractéristiques de la lune
La terre et la lune sont attirées l’une vers l’autre. Ainsi, elles se rapprochent toujours l’une de l’autre. Mais comme elles se déplacent également latéralement, elles se manquent constamment et finissent par voyager l’une par rapport à l’autre de manière elliptique.
Si elles se déplaçaient trop vite, elles se désintègreraient. Si elles se déplaçaient trop lentement, elles pourraient entrer en collision. Mais les deux orbitent de manière parfaitement équilibrée et complètement stable.
La distance de la terre à la lune et la taille adaptée de la lune permettent que l’amplitude des marées ne provoquent pas de gigantesques marées inondant les terres émergées et ultimement des tremblements de terre.
La lune aide à maintenir notre axe et créée la marée qui rafraîchit l’océan en oxygène et permet à la vie d’exister.
Aussi elle est assez grande et assez proche pour protéger partiellement la terre des météorites, des comètes et des astéroïdes.
Chaque cratère à la surface de la lune représente un objet qui aurait autrement pu avoir un impact sur la terre.
Un objectif majeur de la lune est d’éclairer la nuit. La lune reflète la lumière du soleil sur nous même lorsque le soleil est de l’autre côté de la terre. La quantité de lumière réfléchie dépend de la surface de la lune, nous avons donc la chance d’avoir une lune si grande.
Une autre fonction de la lune est de révéler les saisons. La lune orbite autour de la terre environ une fois par mois, provoquant des phases régulières dans un cycle de 29½ jours. Ainsi, des calendriers peuvent être créés, afin que les gens puissent planter leurs récoltes au meilleur moment de l’année.
Une caractéristique importante est que la lune garde toujours la même face vers la terre. Si différentes parties étaient visibles à des moments différents, la luminosité de la lune dépendrait de la partie pointant vers la terre. Le cycle de 29½ jours serait alors beaucoup moins évident.
Les marées sont vitales pour la vie sur Terre. Les marées nettoient les rivages de l’océan et aident à maintenir la circulation des courants océaniques, empêchant l’océan de stagner.
Elles profitent à l’homme en parcourant les canaux de navigation et en diluant les rejets d’eaux usées. À certains endroits, les gens exploitent l’énorme énergie des marées pour produire de l’électricité.
L’une des vues les plus fascinantes du ciel est une éclipse totale de soleil. Cette vue est possible car la lune a presque exactement la même taille angulaire (à un demi-degré) dans le ciel que le soleil – elle est à la fois 400 fois plus petite et 400 fois plus proche que le soleil. Cela ressemble à une conception intelligente.
Il y a 181 lunes dans notre système solaire et il n’y a aucune autre relation planète-lune qui ne produise une éclipse solaire totale. Cela ne semble pas être un accident.
Si la lune avait vraiment reculé durant des milliards d’années et que l’humanité n’était là que depuis une infime fraction de cette durée, les chances pour que l’homme apparaissent juste au bon moment pour constater cette correspondance impressionnante auraient été extrêmement faibles.
Aussi beaucoup de gens ignore que l’homme derrière la mission lunaire Apollo était le spécialiste de la fusée et créationniste Wernher von Braun. Un autre créationniste, Jules Poirier, a conçu un équipement de navigation essentiel utilisé dans le programme spatial.
Le système de défense de la terre
Jupiter est la plus grosse planète de notre système solaire (1312 fois plus grosse que la terre), la planète est à l’extérieur du système, ce qui est crucial car elle agit comme un gros aspirateur de poussières, de comètes et d’astéroïdes, de sorte à ce que la terre soit protégée.
Même constat avec Saturne qui exerce une influence gravitationnelle massive dans le système solaire et aident à débarrasser les objets potentiellement dangereux, en particulier les comètes provenant du système solaire.
Notre atmosphère est notre dernière ligne de défense. Très peu d’objets atteignent réellement la surface de la planète car ils sont consumés par la chaleur féroce générée par l’entrée dans l’atmosphère.
La densité de l’atmosphère, si elle était plus faible, permettrait que la terre soit davantage bombardée.
Une autre particularité de la terre est son puissant champ magnétique qui protège fortement l’atmosphère.
La formation impossible des étoiles
Une citation de l’astrophysicien Neil deGrasse Tyson et de Frederick P. Rose directeur du Planétarium Hayden à l’American Museum of Natural History :
Tous les nuages de gaz de la Voie lactée ne peuvent pas former d’étoiles à tout moment. Plus souvent qu’autrement, le nuage ne sait pas quoi faire ensuite.
En fait, les astrophysiciens sont ceux qui sont confus ici. Nous savons que le nuage veut s’effondrer sous son propre poids pour faire une ou plusieurs étoiles. Mais la rotation ainsi que les mouvements turbulents dans le nuage vont à l’encontre de ce sort.
Il en va de même pour la pression de gaz ordinaire que vous avez apprise au cours de chimie du secondaire. Les champs magnétiques galactiques combattent également l’effondrement: ils pénètrent dans le nuage et se verrouillent sur toutes les particules chargées en itinérance libre qui y sont contenues, limitant la façon dont le nuage répondra à sa gravité.
La partie effrayante est que si aucun de nous ne savait à l’avance que les étoiles existent, la recherche de première ligne offrirait de nombreuses raisons convaincantes pour lesquelles les étoiles ne pourraient jamais se former Neil deGrasse Tyson 5.
Le sujet de la formation des étoiles semble bel et bien au point mort tout comme l’apparition de la première vie sur terre dans le modèle évolutif.
La pesanteur
La pesanteur nous permet d’être maintenu à la surface de la terre sans être écrasé. Une infime variation serait fatale.
La croûte terrestre
La forte teneur en oxygène de l’atmosphère terrestre est unique parmi les planètes du système solaire et aurait pu être liée à la composition du noyau et de sa croûte.
La faible épaisseur de la croûte terrestre est nécessaire pour que les plaques tectoniques puissent persister et maintenir une activité volcanique stable et à un niveau relativement modéré (pas comme Venus par exemple qui est couverte de volcan et présente les cicatrices de nombreuses éruptions).
1.croûte continentale ; 2. croûte océanique ; 3. manteau terrestre
Cette épaisseur doit également être suffisante pour ne pas permettre une activité volcanique trop intense.
La croûte est le foyer de la vie, qui exerce de forts effets sur la chimie des roches et possède ses propres systèmes de recyclage des minéraux.
Toute la variété intéressante et précieuse de la géologie, des minerais métalliques aux lits épais d’argile et de pierre, trouve sa place dans la croûte et nulle part ailleurs.
Activité Tectonique et Volcanisme – Caractéristiques du Dessin Intelligent!
La dilatation de l’eau
Tous les matériaux se dilatent quand on les chauffent et se rétractent quand on les refroidit, il y a une exception, lorsque l’eau se refroidit pour atteindre le point de congélation, elle arrête de se contracter et se dilate de 9%, pour que la glace flotte sur les lacs et les mers.
Les mers froides ne seraient autrement que des masses compactes de glace, empêchant la vie sous-marine, les courants marins entre les mers chaudes et froides, et l’effet bénéfique de ces courants chauds sur certaines régions côtières.
Cette caractéristique semble avoir été pensé pour permettre la vie sous-marine et pour nourrir les populations qui vivent dans des populations très froides et qui vivent de la pêche comme en Yakoutie.
La composition de l’air
L’air contient l’exacte quantité d’oxygène et d’azote nécessaires à notre survie.
L’air consiste en un mélange gazeux constitué de 78 % de diazote (N2), de 21 % dioxygène (O2) mais également d’autres gaz (dioxyde de carbone, vapeur d’eau, hélium…).
Cette composition fournit les conditions nécessaires à la protection et au maintien de la vie.
En effet le dioxygène permet la respiration des êtres vivants et le dioxyde de carbone joue un rôle primordial dans le climat de la Terre en participant à l’effet de serre.
L’azote est une molécule fascinante, la raison pour laquelle elle est abondante dans l’atmosphère est parce qu’elle est non-réactive – elle ne s’engage pas dans des réactions chimiques et cela la rend sécuritaire parce que si l’atmosphère était rempli d’oxygène, cela serait certes bon pour respirer, mais des feux se déclareraient spontanément pour brûler toutes choses. C’est pourquoi nous avons uniquement besoin de 21% d’oxygène dans l’atmosphère.
L’atmosphère doit donc être rempli avec quelque chose d’autre – il faut suffisamment de pression dans l’atmosphère pour que nous puissions respirer facilement, mais il ne faut pas non plus un gaz qui s’engage dans des réactions chimiques et brûle tout. C’est pourquoi l’azote est important. Nous avons l’azote N2 – deux atomes d’azote qui se tiennent entre eux avec trois liens, ce qui est très puissant et c’est la raison pour laquelle il ne réagit pas chimiquement.
Y a-t-il d’autres planètes habitables ?
Quand le télescope Kepler en 2009 a été lancé pour déterminer comment les planètes de taille similaire à la terre étaient dans les zone habitables d’étoiles semblables au soleil, très peu de planètes ont été revendiquées.
Beaucoup de ces exoplanètes (ou planète extrasolaire) orbitent trop près de leur étoile parente, étant comme bloqués avec un côté de la planète toujours fixé sur l’étoile et étant trop chaud, et l’autre côté de la planète étant trop froid. Elles demeurent donc hostiles à la vie.
D’autant plus que d’énormes autres planètes, plus larges que Jupiter, et très inhospitalières à la vie sur les exoplanètes en question, ont été trouvées se ruant autour de leurs étoiles en l’espace de quelques jours, provoquant parfois des interactions violentes qui consument ces grosses planètes.
Certaines exoplanètes ont même été trouvées en orbite autour de leurs étoiles dans la mauvaise direction.
Voici un graphique qui montre le nombre d’exoplanètes confirmées. Sur l’axe vertical, nous avons la masse de la planète. Cette échelle n’est pas linéaire, chacune des divisions montre une multiplication par dix mais elle est normalisée à 1, où 1 est la masse de Jupiter. Les différents nombres sur l’axe vertical représentent la masse des planètes par rapport à Jupiter.
L’axe horizontal est la distance entre la planète et son étoile et il est normalisé à la distance entre la terre et le soleil. Donc, 1 est l’endroit où la terre est par rapport au soleil.
Ce que l’on y observe est un cluster de 3000 points. Les différentes couleurs représentent les différents moyens par lesquels les gens ont détecté ces planètes.
La première analyse concerne sont les Jupiters chaudes (Red Hot Jupiters). Elles ont jusqu’à 10 fois à 20 fois la masse de Jupiter, mais regardez à quel point elles sont proches de leur étoile. Dans certains cas, elles sont à un centième de la distance qui nous sépare de notre soleil.
Nous avons donc des planètes massives proches de leur soleil qui déferlent autour de lui, certaines en l’espace de quelques heures. C’est un environnement très violent, si violent que les planètes en sont détruites. Elles ont des matières lourdes arrachées et aspirées dans l’étoile ou emportées par la pression des radiations. C’est encore une raison supplémentaire du jeune âge de l’univers. Ces étoiles ne peuvent exister depuis des milliards d’années.
Il y a aussi les planètes terrestres (hot terrestrials). Elles sont très proches de leur étoile, plus proches que mercure du soleil par exemple, et ont à peu près la taille de la terre. Elles sont probablement verrouillées par effet de marée, ce qui signifie qu’un de leur côté fait en permanence face à l’étoile et est donc chaud et inhospitalier alors que de l’autre côté est dans l’obscurité permanente.
Où se situe notre système solaire ? Voici donc nos 4 planètes terrestres (Terre, Mars, Vénus, Mercure). Vous remarquez qu’elles sont de leur côté toutes seules.
Vous voyez, nous ne vivons pas du tout dans un système solaire typique mais plutôt très atypique.
Qu’en est-il des géantes gazeuses (Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune)? Elles sont également de leurs côtés esseulés, sauf Jupiter qui est à la limite.
Les 8 planètes principales de notre système solaire ressemblent très peu à toutes les autres configurations trouvées dans l’univers. Alors pourquoi nous dit-on dans les journaux et les documentaires que nous vivons simplement dans un jardin commun, lui-même placé dans un système solaire commun que l’on retrouve un peu partout dans l’univers ? L’observation pure ne mène pas à ce genre de conclusion, comme l’humilité cosmique.
Ce ne sont pas seulement nos planètes qui sont exceptionnelles, mais notre soleil également. Voici une citation à son sujet :
«Comparé à l’activité intense et violente observée sur d’autres étoiles, notre soleil est remarquablement tempéré et bien aimable – il ne provoque pas d’éruption violente ou ne souffle pas comme les autres étoiles. Lorsque les éruptions solaires se produisent, elles ne sont pas violentes au point de vaporiser nos océans … ou pire6. »
Les cas multiples de planètes inhospitalières poussent à reconnaître qu’il y a eu un assemblage et un réglage pour que la terre ne soit, au final, pas comme tout le reste de l’univers, c’est à dire sans les conditions qui permettent à la vie d’exister.
Dans tous les cas, bien plus de facteurs que la simple capacité à avoir de l’eau liquide doivent être présents pour produire et maintenir la vie. Et il est impossible à la vie de surgir à partir de produits chimiques non vivants (voir l’article sur l’origine de la vie, la génétique et l’ADN).
Voici une citation de l’astrophysicien Ian O’Neill :
Gliese 832c orbite autour d’une étoile naine rouge et elle a été découverte par l’équipe internationale anglo-australienne de recherche de planète dirigée par Robert Wittenmyer de l’Université de New South Wales, Australie. La découverte a été acceptée pour publication dans l’Astrophysical Journal.
… Gliese 832c est considéré comme le troisième monde le plus habitable à ce jour sur l’indice de similitude de la Terre (ESI).
Mais n’allez pas rêver de ciel bleu, d’océans opales et de forêts vertes et luxuriantes – ce monde étoufferait probablement toute vie (enfin, la vie telle que nous la connaissons).
« Étant donné la grande masse de la planète [5 fois la masse de la Terre], il semble probable qu’elle posséderait une atmosphère massive, ce qui pourrait rendre la planète » inhospitalière « », a déclaré le co-investigateur Chris Tinney, également de l’UNSW.
« Une atmosphère plus dense emprisonnerait la chaleur et la rendrait plus comme une super-Vénus et trop chaude pour la vie. » …
Méfiez-vous donc des gros titres qui suggèrent que Gliese 832c est «semblable à la Terre» – Elle est plus probablement «semblable à Vénus» et très étrangère aux formes de vie terrestres 7.
Tout ceci ne nous renvoie t’il pas au verset suivant contenu dans le livre d’Esaïe :
Esaïe 45 : 18
Car ainsi parle l’Éternel, Le créateur des cieux, le seul Dieu, Qui a formé la terre, qui l’a faite et qui l’a affermie, Qui l’a créée pour qu’elle ne fût pas déserte, Qui l’a formée pour qu’elle fût habitée: Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre.
L’équilibre des forces électro-magnétiques par rapport à la force de la gravitation
Il y a un équilibre très délicat à maintenir dans l’univers, celui des forces électro-magnétiques qui doivent rester constantes par rapport à la force de la gravitation. Ces deux forces doivent demeurer synchronisées.
Si la force électro-magnétique augmentait de peu (0,40 x zéros et 1, soit 1 sur 10 puissance 40), seules des petites étoiles se formeraient, si elle diminuait un peu, seules des grosses se formeraient.
Pour que la vie existe dans l’univers il est nécessaire d’avoir de grandes et de petites étoiles. Les grandes parce qu’elles produisent la plupart des éléments essentiels à la vie, des petites comme le soleil, car seules elles, brûlent de façon stable pour maintenir la vie sur une planète.
La vie existe uniquement à cause de l’équilibre de ces forces dans l’univers. Tout doit être juste.
On retrouve la force électro-magnétique sur le plus petit des éléments sur la terre, la tourbe.
La force électro-magnétique est essentielle au lien moléculaire, si cette force était un tout petit peu plus forte, les atomes ne pourraient pas échanger leurs électrons, si elle était un tout petit peu plus faible, les noyaux ne pourraient pas s’attacher à leurs électrons.
La grande force nucléaire
La grande force nucléaire, celle qui lie entre eux les protons et les neutrons dans l’atome, si elle était très légèrement plus faible, seuls les éléments lourds pourraient exister, si elle était un petit plus forte, seul l’hydrogène pourrait se former.
Si la grande force nucléaire était augmentée d’un peu plus de 0,4%, les étoiles produiraient beaucoup de carbone mais pas d’oxygène.
Inversement, si la grande force nucléaire était réduite de la même quantité, les étoiles produiraient beaucoup d’oxygène mais pas de carbone.
De même, un petit changement dans la masse des quarks détruirait la capacité d’une étoile à produire à la fois du carbone et de l’oxygène. Sans carbone, la vie à base de carbone ne pourrait pas exister; sans oxygène, il ne peut y avoir ni eau ni vie telle que nous la connaissons.
Les noyaux de carbone et d’oxygène ont des niveaux d’énergie finement réglés.
Il s’avère que toute la matière que nous voyons dans l’univers est composé de neutrons, de protons et d’électrons.
Le ratio de l’électron à la masse de protons (1: 1836). Encore une fois, s’il était plus ou moins grand, les molécules ne pourraient pas se former.
(Atome d’Hélium sur la figure de gauche, avec les électrons en jaune, les protons en rouge, et les neutrons en vert)
Il n’y a que 3 particules fondamentales, chacune se déclinant en quelques variantes pour un total de seulement 24 particules élémentaires (matière) – 6 quarks, 6 leptons et 12 bosons de calibre.
Tout dans l’univers entier est composé de ces 3 particules fondamentales en 24 variantes.
Il y a 118 éléments chimiques dans le tableau périodique qui peuvent être combinés pour créer des composés presque innombrables comme l’oxyde de fer ou le carbonate de calcium ou l’hydroxyde d’hydrogène (l’eau).
Ceux-ci peuvent être combinés pour créer des substances presque innombrables comme le chewing-gum, le gâteau au chocolat, les acides aminés, le béton etc… et ceux-ci peuvent être combinés pour créer des structures encore plus grandes comme des bâtiments et des avions et des ordinateurs et… le corps humain.
Pourtant, toutes ces choses sont faites en utilisant seulement 24 composants différents! Cela ressemble à une conception dans toute sa splendeur !
Le Dr et physicien Jim Mason explique que seulement 12 de ces particules fournissent 3 des 4 forces, toutes finement réglées, qui maintiennent tout dans l’univers ensemble. Il appelle cela «le design à son apogée»:
Ce sont la force nucléaire forte qui maintient les noyaux atomiques ensemble, la force nucléaire faible qui permet certains types de radioactivité et la force électromagnétique qui est responsable de presque tous les phénomènes que nous vivons quotidiennement.
La quatrième force, et la plus faible, est la gravité.
Ces forces couvrent une gamme incroyable de forces et se comportent toutes différemment: la gravité ne fait qu’attirer ; la force électromagnétique attire et repousse à la fois; les deux agissent sur des distances infiniment longues alors que la grande force n’agit qu’à l’intérieur du noyau.
La gravité, la force la plus faible, explique le mouvement des étoiles et des planètes; la force électromagnétique est responsable du voyage de la lumière des étoiles à la Terre.
Enfin, la grande force empêche tous les noyaux des atomes de s’écarter en raison de la répulsion électromagnétique entre les protons.
Mais ce n’est pas tout. La relation entre ces forces est si finement réglée que même un léger changement dans une seule de ces relations rendrait l’univers tel que nous le connaissons impossible. Un accident? Je ne pense pas! 8«
Hébreux 11 : 6
Or sans la foi il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.
Le nombre d’or
Le nombre d’or, aussi appelé la séquence de Fibonacci, pourrait se révéler être l’une des constantes qui a servi à créer l’univers.
Les chercheurs ont remarqué que les nombres de la séquence de Fibonacci ont tous un lien particulier avec les nombres qui les précèdent où les succèdent.
Le ratio de n’importe quel nombre de la séquence de Fibonacci au nombre qui le précède est de 1.618034. Et le ratio de n’importe quel nombre qui le succède est de 0.618034.
Ce ratio se révèle être un ratio constant dans l’univers. Plusieurs œuvres architecturales et artistiques des grecs de l’antiquité sont fondés sur ce ratio. Le parthénon par exemple. Sa longueur est de 1,618034 fois sa largeur, et sa largeur est de 0,618034 fois sa longueur.
Ce ratio permet la réalisation d’objet très esthétique. Le visage de Mona Lisa est construit sur ce ratio.
Les « beaux visages » utilisent plusieurs fois ce ratio. La bouche représente environ 1,618 fois la largeur du nez, et la distance entre les pupilles est approximativement de 1,618 fois la largeur de la bouche. Les chirurgiens esthétiques utilisent ce ratio pour améliorer l’apparence physique.
Les spécialistes de la musique ont également constaté que les musiques qui nous plaisent le plus sont soumises à ce nombre d’or. Le premier mouvement représentant 1,618034 la longueur du second.
La longueur de l’avant-bras représente approximativement 1.618 fois la longueur de la main. Chaque phalange des doigts représente 1,618 fois la longueur de la suivante.
Si l’on construit une spirale fondée sur la séquence de Fibonacci selon laquelle chaque quart de tour représente 1,618 fois la distance le séparant du centre par rapport au précédent, on obtient une spirale qu’on appelle la spirale d’or.
Aussi étrange que cela puisse paraître la plupart des spirales que l’on retrouve dans la nature correspondent au nombre d’or. Les coquillages du céphalopode nautilus et des escargots de mer sont construits sur le principe du nombre d’or.
Les tempêtes tropicales, les cornes de bélier, les queues des hippocampes, le limaçon de l’oreille, les tourbillons d’océan, l’agencement des graines du tournesol et des pommes de pin, la queue des comètes, les vents solaires utilisent aussi ce nombre d’or.
La liste des nombres d’or dans l’univers est infinie. Si on calcule le ratio de la longueur des années des planètes de notre système solaire, il correspond toujours au nombre d’or.
Il en est de même de l’arrangement des pétales des fleurs et de la molécule d’ADN. Une spirale d’ADN est un empilement de rectangle tous fait selon les mêmes proportions.
Les feuilles adjacentes de certains arbres sont agencées selon un angle de 137.5 degrés les unes par rapport aux autres, cet angle est celui qui permet au plus grand nombre de feuilles d’être exposées au soleil, aussi lorsque l’on reproduit cet angle à l’intérieur d’un cercle, on obtient deux sections au ratio du nombre d’or. L’arc le plus long représente 1,618 fois l’arc le plus court.
De l’art à la nature en passant par la science, le nombre d’or s’y retrouve avec une régularité étonnante.
Il semblerait que « quelqu’un » ait délibérément utilisé ce ratio comme unité de référence pour créer le cosmos.
Nous sommes naturellement attirés par les objets de ce ratio parce qu’il fait partie des constantes de la création.
La terre et la vie, ne peuvent être le fruit d’un accident de parcours et d’un tâtonnement aveugle ayant eu cours durant des milliards d’années.
L’équilibre de la nature
Je vous invite pour ceci à lire le chapitre dédié dans l’article suivant :
Les objections évolutionnistes
Les évolutionnistes objectent souvent que si l’univers n’était pas comme il est, personne ne serait là pour en parler. Il renvoie ainsi le débat dans les pâquerettes.
Le fait « d’être là », ne doit surtout pas faire parvenir à la conclusion que c’est par chance que ce soit le cas mais plutôt que les choses ont été conçues pour le permettre. Tout est en effet adéquat pour la vie sur terre.
D’autres avancent l’argument facile que ce sont les formes de vie sur terre qui se sont adaptées aux conditions proposées par le système solaire. Il y a cependant un certain nombre d’éléments scientifiques contre cet argument.
- D’une, les nombreuses conditions qui permettent la vie sont précises, fragiles, mais aussi uniques dans l’univers. Avant même que l’on ne parle de « la vie », ces conditions semblent laisser transparaître les empreintes d’un concepteur. Les observations tendent vers la conception intelligente.
- De deux, même si nous concédions la possibilité de ce « réglage de l’univers » sans concepteur, il demeure qu’il est quand même impossible de générer une vie bactérienne à partir d’une soupe chimique. Il faut là encore faire appel à une conception intelligente pour écrire toutes les informations cohérentes et ordonnées du code génétique des différentes formes du vivant.
- De trois, même si nous concédions une configuration chanceuse et fructueuse de l’univers pour permettre la vie et ensuite violons la loi scientifique de la biogenèse et autorisons l’apparition d’un premier microbe également sans concepteur et à partir du non-vivant, il n’existe hélas aucun procédé biologique « ascendant » permettant l’ajout d’information génétique et donc la progression en complexité.
En fait, le registre fossile démontre que les organismes sont apparus subitement et déjà complexes dans l’histoire, ce qui est en corrélation avec la biologie dont les processus n’augmentent pas la quantité d’informations génétiques ou la complexité.
Un récent article évoque « l’adaptation », soit le couteau suisse génétique des êtres-vivants:
La génétique nous montre que les codes génétiques des espèces vont en se dégradant (mutations – erreurs de réplication à chaque génération), pour atteindre l’extinction en quelques dizaines ou centaines de milliers d’années. Le vivant n’a clairement pas eu et n’aura pas les moyens de se maintenir durant des millions d’années sans l’intervention du concepteur.
La Génétique, l’ADN et l’Origine de la Vie – Créationnisme
La sélection naturelle ne marche que si à la base, les couples originaux disposaient de larges pools génétiques, c’est à dire une grande variété génétique de laquelle il était possible de sélectionner pour qu’ils s’adaptent aux divers environnements (un modèle qui transparaît dans la genèse biblique). Mais encore une fois l’adaptation des créatures grâce à leur code génétique varié est un élément déterminant pour comprendre comment des légers changements sont possibles.
La Sélection Naturelle et les Mutations Génétiques sont-ils “moteurs de l’Evolution” ?
Ainsi la capacité à s’adapter n’est pas due à un développement naturel et auto-guidé au sein de l’environnement terrestre, mais à la présence initiale d’informations génétiques le permettant, ce qui milite une fois de plus en faveur de la conception intelligente.
Les informations génétiques étaient présentes avant même que les créatures n’en aient eu besoin pour survivre ou s’adapter ici et là. Les créatures composant les couples originaux sont arrivées avec un « pack génétique » permettant leur dispersion et prolifération.
Parmi les miracles qui ont été nécessaires pour que la vie existe nous pouvons donc mentionner ceci :
- La conception d’un univers bien réglé, ce que le hasard ne peut pas faire
- Des couples originaux disposant de larges informations génétiques et créés surnaturellement par le concepteur. La poule et le coq viennent avant l’œuf.
Conclusion
Mercure et Vénus sont chaudes et stériles, Mars est un terrain vague toxique. Entre Vénus et Mars, se trouve ce joyau bleu étonnant appelé Terre, doté d’eau, de verdure et de vie dans presque tous les recoins. Elle a le bon bouclier magnétique, la bonne énergie solaire, les bons minéraux continentaux, la bonne atmosphère, les bons cycles carbone / oxygène / azote et une lune qui est à la bonne distance, densité et orbite.
Il semblerait que la mise en perspective de la terre dans l’univers exprime fortement sa fragilité et l’intelligence qui garantit son intégrité. Il apparaît effectivement impossible qu’un système aussi fragile et complexe ait pu se produire sans conception et gestion intelligente.
Voici en résumé quelques-unes des caractéristiques traitées dans cet article et qui tendent vers la conception intelligente.
Les éléments en faveur du modèle biblique de la conception intelligente |
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Les caractéristiques du soleil |
La terre près du centre de l’univers |
La rotation de la terre |
L’inclinaison de la terre |
Les caractéristiques de la lune |
Le champ magnétique |
L’atmosphère |
La formation impossible des étoiles et planètes dans le paradigme naturaliste |
La pesanteur |
La croûte terrestre |
La dilatation de l’eau |
La composition de l’air |
L’absence d’autres environnements favorables dans l’univers (exoplanètes) |
L’impossibilité de générer la vie à partir du non vivant |
Le registre fossile démontre que les espèces étaient complexes dès le début |
La biologie révèle qu’il y a dû y avoir des couples originaux avec une large gamme génétique pour permettre les processus descendants et spécialisants |
L’équilibre des forces électro-magnétiques par rapport à la force de la gravitation |
La grande force nucléaire |
Le nombre d’or |
L’équilibre de la nature |
Je terminerai cet article avec une citation de Sir Isaac Newton :
Références :
- Hubble E.P, The Observational Approach to Cosmology The Clarendon Press, Oxford, UK, pp50-59, 1937.
- (former editor-in-chief of Scientific American), Nothing special, Scientific American 300(4):8, 2009.”
- Stephen Hawking (Director of Research at the Centre for Theoretical Cosmology within the University of Cambridge, and former Lucasian professor of Mathematics, University of Cambridge), A Brief History of Time, Updated and Expanded Tenth Anniversary Edition, Bantam Books, New York, pp. 44-45, 1998.”
- Timothy Clifton (junior research fellow at Jesus College, Oxford University) and Pedro G. Ferreira (professor of astrophysics, Oxford University), Does dark energy really exist? Scientific American 300(4):48, 2009.”
- (astrophysicist and Frederick P. Rose director of the Hayden Planetarium at the American Museum of Natural History), Death by Black Hole: And Other Cosmic Quandaries, W. W. Norton & Company, p. 187, 2007.”
- Sherwin, F. The perfect Balance of our Solar System, Acts&Facts, ICR. Vol 44 No 12 p18
- “Ian O’Neill (astrophysicist and writer for Discovery News) Gliese 832c: Life-roasting ‘Super-Venus’ discovered, Discovery Newsletter, 30 June 2014.”
- Extrait de : 631-632 Jonathan Sarfati and Gary Bates. “Busting Myths.” (en lien avec les merveilleux design pour les 12 particules)
- Principia, Book III; cited in; Newton’s Philosophy of Nature: Selections from his writings, ed. Thayer, H.S., Hafner Library of Classics, New York, USA, p. 42, 1953.”
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