DINOSAURES

palÉontologie

Les dinosaures ont-ils disparu il y a 65 millions d’années ? Créationnisme

De toutes les questions entourant les dinosaures, leur disparition est la plus énigmatique d’entre toutes. Des dinosaures aussi bien marins, que terrestres et volants ont disparu. Le mystère s’épaissit quand on prend en compte que les dinosaures étaient bien adaptés à leur environnement et qu’ils étaient répartis dans le monde entier.

Cet article est grandement inspiré des articles références12 en bas de l’article ci présent.

Des dinosaures ont été retrouvés sur tous les continents, même en antarctique. Leurs traces, qui se nombrent en milliards, se retrouvent encore sur des îles, telles que l’ile nord atlantique de Spitsbergen et l’Ile du Nord de Nouvelle Zélande. Ces traces ont été retrouvé dans plus de 1500 endroits à travers le monde, en Alaska par exemple.

Idem pour les œufs de dinosaures, les nids, les embryons, les nouveau-nés qui ont été repérés dans au moins 199 endroits un peu partout dans le monde. Une nouvelle découverte en Espagne suggérerait même qu’une quantité colossale de 300 000 œufs serait rassemblés dans un volume de 12 000 mètres cubes.

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Ces roches se trouvent probablement dans le grès marin, selon le paradigme uniformitariste, les nids se seraient automatiquement déposés au bord de la mer. Toutefois les embryons dans ces œufs sont très rares.

Cet article fait suite à l’article précédent sur les dinosaures dans le modèle biblique et notamment le fait qu’ils ont existé il y a seulement quelques milliers et non millions d’années :

Les dinosaures selon les créationnistes ont disparu il y a environ 5000 ans lors du déluge de Noé, lequel a été un évènement tectonique, volcanique ayant provoqué une inondation progressive des continents au cours d’un évènement qui aura duré 1 an. Alors que quelques spécimens ont pu repeupler le monde après le déluge, les conditions climatiques (ère glaciaire) ajouté à l’impact de l’homme sur l’environnement, ont fini par avoir raison des dinosaures (lézard terrible) au cours de l’antiquité. Il est possible que quelques petits spécimens aient survécu jusqu’au moyen-âge.

Quelques théories pour expliquer la disparition des dinosaures

Quelques théories avancent que les dinosaures sont morts du froid, ou de la chaleur, ou de l’humidité ou de climats trop secs. D’autres disent qu’ils sont morts de faim, ou de problèmes nutritionnels provoqués par l’évolution de plante.

Une autre astuce ingénieuse est que les papillons ont évolué et que leurs larves ont dépouillé les feuilles des plantes provoquant le décès des herbivores et entrainant l’extinction des carnivores.

D’autres causes astronomiques et géophysiques ont aussi été proposées. Par exemple une modification de la gravité terrestre, de l’inclinaison axiale ou une inversion du champ magnétique.

Une théorie, renforcée à un moment donné par les anomalies de l’iridium dans les roches sédimentaires, est qu’une supernova a explosé près de la terre. Dans ce cas, la supernova aurait augmenté le flux de protons solaires, ce qui aurait brisé la couche d’ozone protectrice, permettant au rayonnement ultraviolet de détruire les dinosaures.

Une autre hypothèse imaginative affirme qu’une activité volcanique intense a craché de grandes quantités d’éléments radioactifs, de sorte que les dinosaures sont morts d’intoxication par rayonnement.

De manière intéressante, le volcanisme, les météorites et les collisions de comètes sont parmi les plus sérieux prétendants pour expliquer la disparition des dinosaures.

La disparition des dinosaures pour les créationnistes

Pour la plupart des créationnistes, l’extinction des dinosaures, comme les autres extinctions d’ailleurs, ne sont pas un mystère. En effet, la Bible, outil de référence historique, quoique cela puisse heurter la sensibilité de ceux, qui, pour le moins que l’on puisse dire, n’y place pas leur confiance, permet de s’y retrouver et d’éviter les thèses qui vont dans tous les sens. Elle permet de combler les incertitudes en apportant des pièces cruciales du puzzle.

Pour les créationnistes bibliques, les dinosaures seraient tout simplement morts il y a 4000 ou 5000ans, dévastés, par le déluge, à l’exception de ceux qui sont montés sur l’Arche de Noé.

Genèse 7 : 21

Tout ce qui se mouvait sur la terre périt, tant les oiseaux que le bétail et les animaux, tout ce qui rampait sur la terre, et tous les hommes.

Il réside bien sûr des inconnus avec les fossiles observés (notamment pour le cas des œufs que l’on verra plus bas) mais la plupart des éléments connus trouvent leur cohérence dans la perspective du déluge biblique.

L’aspect le plus convaincant est que les dinosaures ont été ensevelis de manière fulgurante par l’eau, à des débits probablement jamais égalés depuis.

Sur la base d’un mélange de bois charbon et de sable trouvés dans le Colorado et le Nord-Est du Wyoming, Edmont Holroyd fournit des preuves, qu’au moins à l’échelle de région, des débris résultant d’une catastrophe sont associés à des restes de dinosaures345.

De plus, après l’enfouissement, la fossilisation a dû se dérouler rapidement dans des conditions peu communes dans lesquelles les minéraux se déplaçant à travers les sédiments ont remplacé la matière organique. Il n’est donc pas surprenant que l’eau soit étroitement associée à l’enfouissement et à la fossilisation des dinosaures.

William A Clemens déclare que les organismes ont dû être enterrés rapidement par de rares inondations (dans son esprit, des événements de 100 ou 500 ans) afin d’être préservés sous forme de fossiles6.

Les dinosaures se trouvent souvent dans de grands lits d’ossements ou des cimetières de dinosaures, où de nombreux os de dinosaures sont rassemblés. Cela fournit, au moins, des preuves d’inondations locales.

Quelques-uns de ces lits d’ossements contiennent des milliers de dinosaures et indiquent une catastrophe. Le plus grand lit d’ossements du monde est probablement situé dans le centre-nord du Montana, aux États-Unis. Sur la base d’affleurements, une estimation extrapolée a été faite pour 10 000 dinosaures à bec de canard enterrés dans une mince couche de 2 km est-ouest et 0,5 km nord-sud.

Les os sont désarticulés et dissociés, et sont orientés est-ouest. Cependant, quelques os se tenaient debout, indiquant un certain type de flux de débris. De plus, il n’y a pas de jeunes dinosaures ou de bébés dans ce lit d’ossement, et les os proviennent tous d’une seule espèce de dinosaure.

Horner et Gorman décrivent le lit osseux comme suit:

«Comment une boue, quelle que soit sa gravité, pourrait-elle avoir la force de prendre un animal de deux ou trois tonnes qui venait de mourir et l’écraser à tel point que son fémur – toujours incrusté dans la chair de sa cuisse – se soit fendu dans le sens de la longueur ?« 

Un cataclysme s’est forcément produit. La majorité des couches géologiques se sont déposées lors du déluge biblique de Noé, c’est pourquoi il ne faut pas considérer une ou deux couches comme autant d’années, des millions en occurrence dans le modèle biblique.

Nous savons que la fossilisation est un procédé fulgurant, autrement l’animal se décompose, c’est pourquoi on esquisse à peine la violence de l’évènement qui a pu ensevelir et conservé des dinosaures un peu partout dans le monde.

Les couches géologiques témoignent-elles de l’évolution ou du déluge

Les traces de dinosaures

Les traces de dinosaures fournissent également plus de détails sur les conditions inhabituelles de leur formation. L’importance des traces de dinosaures est qu’elles représentent des animaux vivants, de sorte que dans un modèle diluvien, les traces ont été faites dans les 150 premiers jours du déluge.

Dans l’ouest des États-Unis, des milliards de traces de dinosaures ont récemment été découverte. Un géant site de trace dans le sud-est de l’Utah se trouve à la limite supérieure du Entrada Sandstone.

(L’Entrada Sandstone est une formation géologique du groupe San Rafael trouvée dans les États américains du Wyoming, du Colorado, du nord-ouest du Nouveau-Mexique, du nord-est de l’Arizona et du sud-est de l’Utah.

Toutes les traces de ce site proviennent d’un théropode carnivore assez grand. Il est étrange que ce type de dinosaure ait vécu dans une grande zone d’un désert présumé. Que mangeait-il dans ce désert ? Ces éléments peuvent être mieux interprétées dans l’optique d’un groupe de théropodes, dévalant sur une surface sablonneuse, temporairement exposée, durant le déluge.

Puisque les pistes doivent être enfouies rapidement en quelques jours ou semaines pour être préservées, l’exposition du sable a été brève et fut rapidement suivie d’un autre dépôt7.

Il y a également un certain nombre de caractéristiques de traces, qui sont non seulement sont mieux comprises avec le modèle diluvien, mais qui en plus racontent certains évènements uniques qui se sont déroulés pendant le déluge.

  • Premièrement, les traces sont pratiquement toujours « sur » les strates, « coiffant » généralement les sédiments, ce qui suggère un cycle de sédimentation pendant le déluge suivi d’une brève exposition au-dessus de l’eau. Pourquoi les traces ne se trouvent-elles pas «partout dans» les strates si les sédiments s’étaient déposés lentement pendant de longues périodes?
  • Deuxièmement, l’absence de relief sur les strates recueillant des traces indique un événement de sédimentation rapide formant des strates plates sur une vaste zone. Dans un cas contraire l’érosion s’étalant sur des millions d’années aurait au moins produit une topographie vallonnée et par conséquent, des traces traverseraient les collines de haut en bas.
  • Troisièmement, des conditions inhabituelles et stressantes sont également indiquées par le fait que pratiquement toutes les traces sont droites.

Lockley et Hunt déclarent:

« Tout d’abord, le sauropode changeait de direction, se tournant vers la droite, un phénomène rarement enregistré sur les pistes ».

Tout chasseur d’élans ou de cerfs sait bien que les animaux terrestres serpentent souvent, surtout lorsqu’ils cherchent de la nourriture. Les traces droites sont en général le fait d’un animal stressé, apeuré, tentant d’échapper à un prédateur ou à un chasseur, ou migrant rapidement.

Mais même dans ces situations, les pistes se courbent parfois ou serpentent un peu. Le fait que pratiquement toutes les pistes des dinosaures soient droites favorisent sérieusement le fait que les animaux tentaient désespérément d’échapper à une catastrophe.

La portée mondiale de ce type de pistes droites de dinosaures permet sans aucun doute d’évoquer un cataclysme de proportion mondiale8.

Le manque de traces de bébés et de jeunes dinosaures s’intègre aussi mieux dans le modèle diluvien, dans lequel les bébés et les jeunes n’étaient pas en mesure de fuir les eaux rugissantes du déluge et donc de laisser des traces.

En résumé, toutes ces caractéristiques inhabituelles de traces de dinosaures ne cadrent pas au paradigme uniformitariste de processus lents et graduels sur des millions d’années.

Les preuves conviennent mieux à une époque de détresse mondiale dans laquelle les dinosaures tentèrent d’échapper à la montée menaçante des eaux.

L’hypothèse de sédiments exposés au début de l’inondation est également étayée par des lits d’ossements de dinosaures et des traces. Cette hypothèse propose que des femelles dinosaures enceintes aient pondu dans des refuges temporaires.

Ainsi, la découverte d’œufs de dinosaures fossilisés, parfois dans des nids, qui ont été découverts récemment dans de nombreuses régions du monde, n’est pas incohérente.

Toutefois, parmi les milliers œufs de dinosaures fossilisés découverts, seulement quelques-uns contiennent des embryons, et la plupart d’entre eux ont été découverts dans le centre-nord du Montana et le sud de l’Alberta.

Partout où des os de dinosaures sont découvert, les preuves suggèrent un ensevelissement catastrophique par l’eau, parfois par de l’eau de mer. L’enfouissement et la fossilisation de carcasses aussi massives que celles des grands dinosaures indiquent clairement une catastrophique d’une rare ampleur.

Les théories d’extinction des dinosaures, comme l’activité volcanique et les impacts de météorites ont des données à la fois favorables et contradictoires.

Les données de ces théories peuvent être intégrées au modèle diluvien, un modèle dans lequel les dinosaures ont péri à différents moments au cours des 150 premiers jours.

La datation au carbone 14 et les dinosaures

La datation au carbone 14 et bien d’autres éléments sont en faveur d’une disparition récente des dinosaures. Un article complet à ce sujet :

Le cas des œufs de dinosaures à différentes hauteurs

Il ne faut pas avoir une vue simpliste du déluge pour concevoir le cas des œufs de dinosaures situés à différentes hauteurs, qui selon les évolutionnistes, démontreraient qu’il n’y a pas eu d’évènement soudain tel que le déluge.

L’eau a pu monter par à-coup. De grosses vagues ont pu s’abattre en plusieurs temps, projetant des quantités d’eau phénoménales avec des sédiments, et ensuite les eaux se sont retirées et d’autres grosses vagues sont venues, créant différents niveaux d’enfouissement, et permettant même que les animaux morts lors des premières vagues soient mangés et décomposés en partie avant d’autres séries de vagues.

Le déluge est un événement qui dure un an. Beaucoup de remue-ménage s’est produit dans cette espace de temps.

L’eau est montée progressivement pour recouvrir les terres. Le niveau d’eau fluctua durant le déluge à cause des marées. Ces marées auraient été plus grosses qu’aujourd’hui parce qu’il n’y avait pas de terre pour entraver l’eau.

Il y eut également des tremblements de terre qui générèrent des tsunamis.

Les bassins océaniques se sont rompus, ces tsunamis se sont précipités sur la terre, il y avait les marées, les niveaux d’eau auraient fluctué de plusieurs dizaines de mètres lors du déluge.

Ainsi, les animaux comme les dinosaures ont été pris par une vague et auraient nagé jusqu’à que le niveau de l’eau baisse.

Une maman dinosaure prête à pondre les œufs n’avait nulle part où les déposer. Elle nagea aux alentours, puis quand le niveau de l’eau baissa, elle put marcher sur une surface temporaire, laissa ses empreintes et déposa ses œufs en toute hâte au même endroit.

L’eau monta à nouveau et elle tenta de s’échapper. La boue recouvra les empreintes de pas et les œufs puis elle même finit par être enterrée, ayant le souffle court.

Il y a beaucoup de traces de dinosaures sur les surfaces. Ceci démontre que les couches supérieures se sont déposées rapidement par-dessus sans que l’érosion n’ait pu faire son travail.

Au sujet des œufs, il faut remarquer que ceux-ci étaient en grande partie pathologiques. En effet certains animaux pondent leurs œufs trop tôt quand ils ont peur. Quand c’est le cas, ces œufs ne disposent que d’une très fine coquille. La majeure partie des œufs de dinosaures a été trouvée avec cette caractéristique de coquille fine.

Cela peut expliquer que les dinosaures aient pondu dans l’affolement lors d’une situation stressante. Ils ont pu courir, pondre leurs œufs, faire des allers-retours etc…D’ailleurs une grande partie de ces œufs est sans embryons.

Aussi bien souvent on ne trouve pas de végétations aux cotés des dinosaures, même herbivores. On ne trouve que des dinosaures, des œufs, des traces, et d’autres créatures. On ne trouve pas d’écosystèmes.

Ceci suggère que les couches géologiques n’ont pas été exposées longtemps avant que d’autres ne les recouvrent.

Les dinosaures qui ont survécu au déluge sur l’Arche

Les quelques dinosaures qui ont survécu ont certainement disparu pour les deux raisons suivantes :

  • Le changement climatique (l’ère glaciaire et des conditions beaucoup moins favorables qu’avant le déluge)
  • La chasse (l’homme était autorisé à manger de la viande à ce moment ci, dans un monde beaucoup moins fertile et productif, aussi il a pu s’agir de se protéger ou de protéger les récoltes de ces grands reptiles, de prouver sa supériorité, de conquérir des terres etc…)

Les dinosaures qui avaient survécu au déluge sur l’Arche ont probablement disparu pour les mêmes raisons que les autres animaux qui ont disparu durant les quelques derniers millénaires.

Conclusion

Au Musée Naturel qui fait partie de l’Institut Smithsonien de Washington, se trouve une magnifique exposition de dinosaures, l’un des aspects les plus intéressants est que l’exposition montre les dinosaures dans les positions dans lesquelles ils ont été trouvés.

Il est remarquable que nombre d’entre eux se trouvent dans des positions de nage.

Il y a une grande créature, un allosaurus de la taille d’un éléphant moderne, dont le corps a été tordu et écrasé, celui-ci est décédé d’une mort violente qui est entièrement compatible avec le fait d’être enterré par des tonnes de sédiments et de roches, tout comme nous le lisons dans le récit du déluge de Noé.

Il semblerait bien que le déluge de Noé soit responsable de tous ces fossiles de dinosaures que l’on retrouve.

Poursuivez l’étude avec les articles suivants :

Comment dinosaures et hommes auraient-ils pu cohabiter ?

Le monde avant le péché d’Adam était-il sans mort ni douleur ?

La disparition des mammouths dans la perspective biblique


Références :

  1. https://creation.com/the-extinction-of-the-dinosaurs.
  2. https://answersingenesis.org/dinosaurs/when-did-dinosaurs-live/what-really-happened-to-the-dinosaurs/.
  3. Holroyd, III, E.W., Comments on the fossils of Dinosaur Ridge, CRSQ29:6–13, 1992.
  4. Holroyd, III, E.W., Confirmation from a debris flow at a forest fire site, CRSQ 33:141–151, 1996..
  5. Holroyd, III, E.W., Observations of fossil material and charcoalized wood in the Dakota Formation in Colorado and Wyoming, CRSQ 33:170–175, 1996.
  6. Glen, W., On the mass-extinction debates: an interview with William A. Clemens. In: The Mass-Extinction Debates: How Science Works in a Crisis, W. Glen (ed.), Stanford University Press, Stanford, California, p. 243, 1994.
  7. Walker, T., A biblical geological model. In: Proceedings of the Third International Conference on Creationism, R. E. Walsh (ed.), Creation Science Fellowship, Pittsburgh, Pennsylvania, pp. 581–592, 1994. Return to text..
  8. Lockley, M.G., Dinosaur ontogeny and population structure: interpretations and speculations based on fossil footprints. In: Dinosaur Eggs and Babies, K. Carpenter, K.F. Hirsch and J.R. Horner (eds), Cambridge University Press, London, pp. 347–365, 1994. Return to text..

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