DINOSAURES

palÉontologie

Les Dinosaures ont-ils vécu et disparu il y a des millions ou quelques milliers d’années ? Créationnisme

S’il est vrai que l’atteinte à la biodiversité a profondément affecté la terre aujourd’hui, notamment en ayant provoqué l’extinction de nombreuses espèces, il s’avère que bien d’autres espèces ont disparu avant l’époque moderne. Les dinosaures sont à ce titre les espèces les plus emblématiques à avoir disparu, quoique bien d’autres espèces animales et végétales aient disparu à leurs côtés. Comment le modèle biblique qui indique que la terre a moins de 10 000 intègre et perçoit les dinosaures dans son histoire ?

Comment les créationnistes et ceux qui acceptent le sens littéral des premiers chapitres de la Genèse approchent-ils la disparition des dinosaures ? Le sujet est particulièrement important car le cas des dinosaures est une des thématiques principales pour saper l’autorité de la Bible. Plusieurs chrétiens ont perdu la foi à cause du paradigme des millions d’années.

Les dinosaures, les créationnistes et les 65 millions d’années

Les créationnistes ne croient pas que les dinosaures se soient éteints il y a 65 millions d’années, mais plutôt qu’ils ont été emportés et fossilisés pendant le Déluge de Noé. Quelques spécimens sortis de l’arche ont pu faire repartir l’espèce durant quelque temps, mais l’ère glaciaire et les conditions terrestres beaucoup plus hostiles après le déluge (ère glaciaire), ajoutées à l’emprise grimpante et dévastatrice de l’homme, ont eu raison définitivement des dinosaures. Il se peut que quelques petits spécimens aient résisté jusqu’au moyen-âge.

Si évidemment ce scénario biblique n’est pas considéré raisonnable, puisqu’il entre en contradiction avec le consensus sur les dinosaures, il existe un carquois d’arguments et d’éléments solides pour le soutenir.

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Nous utilisons aujourd’hui le mot « dinosaure » (inventé en 1841), mais il semble historiquement que c’est le mot « dragon » qui les désignait autrefois. Les « Léviathan », « Béhémoth » et « Dragon » de la Bible sont très probablement ce qu’on appelle aujourd’hui des « dinosaures ».

Il est temps d’aborder deux thèmes, le registre fossile et l’archéologie, pour supporter la théorie selon laquelle les dinosaures, qui en plus de ne pas avoir disparu il y a des millions d’années mais plutôt il y a quelques milliers d’années, ont vécu en même temps que les hommes et les autres animaux. La Genèse nous permet de dire qu’ils ont sans aucun doute été créés lors du sixième jour avec les autres animaux.

Paléontologie et médecine légale

Le premier thème est le registre fossile, qui renferme des ossements de dinosaures fossilisés. La paléontologie est certainement une science, mais cette discipline comme d’autres, a beaucoup en commun avec la médecine légale qui implique un mélange de science et d’histoire (de reconstruction). C’est au niveau de l’histoire que se déroule le débat. Personne ne débat de la science, des observations.

Comme dans la médecine légale, les scientifiques répandent de la poussière pour distinguer les empreintes digitales, ils recueillent des échantillons d’ADN, regardent s’il y a un couteau sur le sol, des gouttes de sang, des empreintes de chaussures boueuses etc…

Une fois que les données sont collectées, une histoire est constituée qui tente de relier toutes les observations pour tirer une conclusion. Il pourrait y avoir de nombreuses histoires à partir des mêmes données. Le majordome est-il le meurtrier ou bien est-ce la femme de chambre ?

L’histoire créationniste et l’histoire évolutionniste sont similaires de cette façon. Ces deux histoires essaient de nous expliquer comment les choses en sont arrivées au résultat que nous constatons.

Dieu a-t-il créé la terre ? Y a-t-il a eu un déluge mondial qui a remodelé sa création ? Ou bien tout ce que nous voyons est le produit de millions d’années sans Dieu ?

Une de ces histoires est fausse. Elles ne peuvent pas être toutes les deux vraies. Soit Dieu a créé à la manière qui est décrite dans sa Parole, soit il ne l’a pas fait. La Science est notre amie, personne ne conteste les observations, le débat porte sur l’histoire que personne de vivant aujourd’hui n’a observé … sauf Dieu.

Personne n’a observé les événements dans le passé et c’est bel et bien le passé qui est débattu dans le dossier création / évolution.

Ce passé ne peut pas être répété ou testé, ni dans la nature ni dans les laboratoires. On ne peut pas comparer « l’évolution » à la médecine, à l’ingénierie qui sont des sciences testables et reproductibles. On ne peut pas reproduire l’évolution, ni la création, c’est pourquoi ils ont davantage trait à l’histoire qu’à la science.

Lire l’article : L’Origine de l’Evolution et l’Importance du Débat Création/Evolution

Lorsque le paléontologue trouve un fossile, il ne trouve pas une petite étiquette qui indique quand il est mort, ce qu’il a mangé ou à quelle vitesse il courait.

Nous avons ici un mélange de science et d’histoire. Le fossile lui-même représente la partie scientifique. Celui-ci est observé, et personne n’en débat. Mais tout comme en médecine légale, ce qui est débattu, c’est l’histoire du fossile qui n’est pas observée. Cet animal est-il vraiment mort il y a 65 millions d’années où il y a 5300 ans ? Ceci est ouvert au débat.

Les dinosaures dans le registre fossile

Contrairement à ce que l’on croit parfois, les couches géologiques qui comprennent des dinosaures ne renferment pas « que des dinosaures ».

Selon les évolutionnistes si deux animaux sont trouvés ensemble c’est qu’ils ont vécu ensemble, si deux animaux ne sont pas trouvés ensemble c’est qu’ils n’ont pas vécu ensemble, mais chacun en son temps (en fonction des couches géologiques et de leur hauteur dans la colonne).

Toutefois il est reconnu maintenant par exemple que des canards ont vécu au temps des dinosaures. Voici une citation :

« Des canards ont peut-être pagayé dans les marais primitifs lorsque le T. rex était le roi des dinosaures, ont annoncé des scientifiques dans la revue Nature1. »

Il y a aussi le cas de l’ornithorynque dont un specimen supposément âgé de 120 millions d’années a été retrouvé et qui ressemble fortement aux ornithorynques d’aujourd’hui.

Les ornithorynques vivants adultes n’ont pas de dents, mais la découverte de fossiles d’ornithorynques en Australie démontrent que leurs ancêtres avaient des dents, qui étaient uniques et distinctives2. Ceci, quoique cela puisse représenter une occasion pour les évolutionnistes de dénoter une évolution, n’en est pas une, il s’agit plutôt de la « dévolution » prônée par les créationnistes.

En effet chaque espèce-mère, par exemple Adam et Eve pour les humains, disposaient du « pool génétique » d’origine comprenant toutes les variantes (teint de peau, yeux caucasiens, asiatiques, formes du visage, etc…).

C’est ensuite, après dispersion et sélection naturelle, que des variantes apparaissent au sein de toutes les genres, sans pour autant qu’il y ait passage d’un genre à l’autre. Un tel passage requiert l’ajout d’information génétique, or la sélection naturelle implique la perte d’information.

Autrement dit l’ornithorynque « d’origine » comprenait des gènes qui ne sont plus comprises dans les derniers ornithorynques.

D’ailleurs le « vieux » specimen de « 120 millions d’années » est même équipé du très complexe système d’électrolocalisation lui permettant de trouver sa nourriture, ce même système qui aux yeux des évolutionnistes ne permettait pas de le qualifier d’espèce primitive ou transitionnelle.

Les ornithorynques ont apparemment vécu avec les dinosaures selon le registre fossile3.

Les plus vieux os de lapin ont aussi supposément un grand âge : 53 millions d’années. Le docteur Wible qui a trouvé ces ossements a même dit qu’il ne serait pas étonné de trouver d’autres lapins vieux de 80 millions d’années, ceci révèle encore que les dinosaures ont vécu avec toutes sortes d’espèces à leurs côtés, les hommes étant certainement l’une d’entre-elles.

Même chose avec une créature qui « ressemble à un castor » retrouvé, qui aurait 154 millions d’années4.

On a également trouvé des restes de dinosaures dans le ventre d’une espèce qui apparemment est un ratel (blaireau à miel)5.

La plupart des créatures qui aurait dû exister si le système évolutionniste était vrai n’ont jamais été trouvé (lire l’article sur le registre fossile), et ceux qui ont été retrouvés ne cadrent pas à l’arbre évolutionniste.

Voici une citation du géologue évolutionniste Stephen Gould :

L’extrême rareté des formes de transition dans les archives fossiles persiste comme secret commercial de la paléontologie. Les arbres évolutifs qui ornent nos manuels n’ont de données qu’aux extrémités et aux nœuds de leurs branches; le reste est une inférence, aussi raisonnable soit-elle, mais pas la preuve de fossiles.

Tout au plus il s’agit d’une forêt d’arbre enchevêtrée avec en tête des espèces mères ou plutôt des « genres » (similaire à la classification « famille » en taxonomie) : un couple originel pour chaque genre/famille comme dans la perspective biblique.

Tout ceci montre que les animaux modernes ont vécu avec les dinosaures. En fait ce qui est trompeur c’est l’âge supposé de toutes ces espèces, y compris l’âge des dinosaures. Si on les replace tous dans une époque récente, tout devient plus logique, notamment dans la perspective d’un déluge qui a emporté toutes les espèces en l’espace de quelques semaines ou mois.

Par ailleurs si les dinosaures vivaient dans les estuaires ou les marécages des rivières, comme cela semble être le cas, comme les crocodiles, alors on ne s’attend pas à trouver de nombreuses créatures des hautes terres enterrées avec eux, comme les bovins, les moutons et les humains.

Les dinosaures ont-ils évolué en oiseau ?

Nous avons tous entendu que les dinosaures auraient évolué en oiseau. Pourtant des experts chinois en fossiles ont mis à jour un oiseau de « 110 millions d’années » qui ressemble étrangement aux oiseaux d’aujourd’hui quand on prend en considération le fait qu’il vivait aux côtés des dinosaures6.

Voici également une citation révélatrice d’Ann Gibbons (journaliste scientifique) :

«Voici la première preuve dans les tissus mous que les théropodes avaient le même type de compartimentation des poumons, du foie et des intestins que l’on trouverait chez un crocodile – et non chez un oiseau.

John Ruben (paléontologue de vertébrés) utilise cette preuve pulmonaire pour argumenter non seulement que les dinosaures étaient incapables des taux élevés d’échange de gaz nécessaires pour l’homéothermie (particulière aux animaux à sang chaud comme les oiseaux), mais aussi que leurs poumons semblables à des soufflets n’auraient pas pu évoluer vers les poumons « haute performance » des oiseaux modernes7 »

Exit la théorie du passage reptilien (animaux à sang froid) au monde volant (animaux à sang chaud). Ceci est davantage développé dans l’article « la complexe évolution des espèces« . En effet bien d’autres éléments rendent cette transition impossible.

Les fossiles vivants

L’argument qui soutient que deux espèces non trouvées ensemble n’ont pas vécu ensemble ne tient pas. Prenons l’exemple des cœlacanthes, qui vivent encore aujourd’hui, alors qu’ils sont censés être ceux qui ont rampé hors de l’eau, sur terre, pour devenir les premières créatures terrestres, il y a des centaines de millions d’années.

Nous n’avons jusqu’ici pas trouvé de cœlacanthes avec des humains enterrés dans la même couche, pourtant les deux vivent encore aujourd’hui.

Dans le même temps, les cœlacanthes et les baleines qui ont supposément vécu des millions d’années ensemble dans le même environnement n’ont jamais été retrouvés ensembles.

Les couches géologiques semblent vraiment ne pas s’expliquer par des échelles de temps les séparant. Deux articles ci-dessous à ce sujet :

Lire l’article : Le Registre Fossile révélé par les Créationnistes

Lire l’article : Les Couches Géologiques et les Fossiles témoignent-ils du Déluge ou de l’Evolution ?

Hommes et dinosaures

Dans le cas des humains, ils n’ont pas été trouvés (pour l’instant) avec des dinosaures, ceci ne signifie pas pour autant qu’ils n’ont pas vécu ensemble.

Il y avait approximativement une dizaine de millions d’être-humains, tout au plus, avant le déluge si on établit une croissance démographique approximative d’Adam à Noé (entre 1650 ans et 2250 ans d’intervalle).

Quand on compare ce faible nombre aux 700 millions de km3 de couches de roches sédimentaires contenant des fossiles, dans le meilleur des cas, il serait trouvé un squelette tous les 70 km3. Et ceci dans la perspective où 100% de la population humaine aurait été fossilisée, ce que personne n’envisagerait. Il est donc normal que les êtres-humains à travers cette marée d’autres espèces soient sous représentés.

95% du registre fossile est composé d’invertébrés marins (ce qui s’explique parfaitement avec un déluge). 2% est composé de vertébrés marins. Le reste sont les plantes et les espèces terrestres (qui sont au final très peu nombreuses proportionnellement toutes espèces confondues).

Une règle d’or en science

Il y a une règle d’or : les scientifiques ne trouvent pas ce qu’ils ne cherchent pas. Voici une citation de Donald Burg, un paléontologue qui l’illustre :

« Nous trouvons des mammifères dans presque tous nos sites de fouilles de dinosaures. Ceux-ci n’ont pas été remarqués il y a des années.

Nous avons environ 20 000 livres d’argile bentonite contenant des fossiles de mammifères que nous essayons de donner au chercheur. Ce n’est pas qu’ils ne sont pas importants, c’est juste qu’on ne vit qu’une seule fois, je me suis spécialisé dans autre chose que les mammifères. Je suis spécialisé dans les reptiles et les dinosaures8. »

Les dinosaures sont souvent présentés dans les livres avec en arrière-plan des volcans en feu et rien d’autres dans les alentours. Ceci est dû au paradigme sur les dinosaures qui ne permet pas des recherches étendues et ouvertes.

Il se peut qu’il y ait des humains enterrés aux cotés des dinosaures, hélas nous n’avons pas encore fait cette recherche comme l’illustre la citation ci-dessus.

Nous pouvons même anticiper que si un jour il était trouvé des restes d’humains dans un dinosaure, les évolutionnistes réussiraient à dénicher une solution pour l’expliquer et ne pas reconnaître l’évidence.

Voici deux articles complémentaires sur le sujet :

Lire l’article : Comment les hommes et les dinosaures auraient-ils pu cohabiter ?

Lire l’article : Le Monde d’avant le péché était-il sans mort ni douleur ?

De l’ADN, du tissu mou et des globules rouges dans les fossiles

C’était en 2005 que le magazine Science mettait sous les projecteurs les recherches de la paléontologue Mary Higby Schweitzer. Ces recherches révélaient des vaisseaux sanguins flexibles et ramifiés transparents et des globules rouges aux côtés de ligaments mous et extensibles d’un os T.rex soi-disant vieux de 68 millions d’années910.

Il va sans dire que ces découvertes ont provoqué un tremblement de terre dans le monde scientifique, dont une grande partie a cherché désespérément à trouver des contre-arguments et des solutions pour expliquer cette présence de globules rouges et de tissus mous.

En effet ces découvertes correspondent aux attentes des créationnistes. Ces éléments démontrent une disparition récente du dinosaure.

Après les tests les plus rigoureux et la vérification des données, de nombreux évolutionnistes admettent maintenant l’existence de tels tissus mous de dinosaures et de matière organique, non sur un ou deux spécimens uniquement, mais sur plus d’une trentaine de spécimens.

Il ne s’agit pas seulement de tissus mous de dinosaures, mais aussi de la présence de protéines détectables telles que le collagène, l’hémoglobine, l’ostéocalcine, l’actine et la tubuline. Ce sont des molécules complexes qui ont tendance à se décomposer continuellement en molécules plus simples.

Aussi dans de nombreux cas, il y a des détails fins de la matrice osseuse, avec des cellules osseuses d’apparence microscopiquement intacte (ostéocytes) qui montrent des détails impressionnants.

Le Docteur Schweitzer a même récupéré des fragments de la molécule d’ADN encore plus fragile et complexe. Celle-ci a été extraite des cellules osseuses avec des marqueurs indiquant sa source, de sorte qu’il est extrêmement probable qu’il s’agisse de l’ADN de dinosaure.

D’autres ont signalé que la décomposition rapide du carbone 14 des os de dinosaures indiquent que pas un seul atome ne devrait subsister après 100 000 ans, voire grand maximum 1 million d’années. Croire que les protéines peuvent durer des dizaines de millions d’années est insensée scientifiquement.

Selon un rapport de la revue scientifique The Biochemist, même si le collagène était stocké à 0 ° C, il ne durerait même pas 3 millions d’années. Et le collagène n’a pas été retrouvé dans ces conditions favorables.

Le Docteur Schweitzer rapporte également cette citation :

«Un critique m’a dit qu’il se fichait de ce que les données disaient, qu’il savait que ce que je trouvais était impossible…. Je lui ai répondu : «Eh bien, quelles données vous convaincraient?» Il m’a répondu «Aucune».»

Depuis des solutions sont proposées pour tenter d’expliquer la préservation de ces divers éléments sur 65 millions d’années.

De récents rapports proposent le fer comme agent de conservation. Hélas, l’information selon laquelle il y a des quantités abondantes de tissus mous dans des créatures censées avoir des millions d’années échappe à tout contrôle et rend ces solutions, non seulement peu crédibles, mais révélatrices de la puissance du paradigme des millions d’années. Tout doit être fait pour faire correspondre les données trouvées à cette idéologie.

Le cas du carbone 14 est éloquent. Après 100 000 ans, le carbone n’est plus détectable, et pourtant les échantillons d’os de 8 dinosaures ont été daté entre 22 000 et 39 000 ans11.

Ces dates peuvent même dans la perspective biblique être réajustés (ratio carbone modifié après le déluge).

Lire l’article : La datation au carbone 14, les diamants, le charbon, les fossiles et les dinosaures

Un échantillon censé provenir de l’époque du déluge ne donnerait pas un âge du radiocarbone d’environ 5 000 ans, mais plutôt de 20 000 à 50 000 ans. En effet, c’est ce que l’on obtient systématiquement à partir de spécimens de pétrole, de gaz et de bois fossile provenant de couches prétendument vieilles de millions d’années.

La raison en est : la datation au radiocarbone suppose que le rapport actuel 14C / 12C d’environ 1 sur un billion (après ajustement de la révolution industrielle) était le rapport de départ pour les objets datés. Mais ce ratio aurait été beaucoup plus faible avant le déluge, qui a éliminé pratiquement tout le carbone vivant de la biosphère par enfouissement.

Étant donné que les objets pré et para-diluvien ont probablement commencé avec un rapport initial 14C / 12C beaucoup plus faible que post-déluge, la quantité mesurée aujourd’hui est artificiellement gonflée en ne tenant pas compte des conditions pré-diluviennes radicalement différentes.

C’est là l’un des talons d’Achille des méthodes de datations que de partir sur des présupposés qui ont toujours été constant. Toutefois ce « gonflement » n’est clairement pas suffisant pour se corréler aux 65 millions d’années.

Dans le cas des os de dinosaures datés entre 22 000 et 39 000 ans, l’inclusion du déluge dans le modèle, permet de ramener les dinosaures sous la barre des 10 000 ans.

Les scientifiques impliqués dans ces datations étaient censés présenter leur article lors d’une conférence conjointe de « l’American Geophysical Union et l’Asia Oceania Geosciences Society, lorsque deux des présidents de la conférence ont retiré l’article.

Le scientifique a fait sa présentation, l’article a été publié puis retiré du site web. L’un des rapports sur la conférence déclara ceci :

L’extrait fut retiré du site web de la conférence par deux présidents parce qu’ils n’acceptaient pas les résultats. Ne voulant pas contester ouvertement les données, ils effacèrent le rapport du public sans un mot aux auteurs12.

Cet épisode conforte une fois de plus que les dinosaures ont disparu récemment.

Voici un autre article sur l’âge des roches, fossiles et de la terre et qui aborde aussi la question des dinosaures :

Lire l’article : Datation Radiométrique – Age des Roches, Fossiles et de la Terre – Créationnisme

Le principe du rasoir d’Ockham

Le principe du Rasoir d’Ockham aurait dû s’appliquer au sujet des trouvailles sur les dinosaures. Pour rappel ce principe, aussi appelé « principe de simplicité », indique que les hypothèses suffisantes les plus simples doivent être préférées.

Hélas ce principe, pour le moins que l’on puisse dire, n’est pas effectif quand il s’agit des dinosaures et plus généralement de l’histoire évolutive et de l’âge de la terre.

Nous allons voir que l’archéologie, de son côté, conforte, voire confirme également l’idée simple que les dinosaures ont vécu aux côtés des hommes il y a quelques milliers d’années.

L’archéologie et les dinosaures

Les dragons sont souvent, à raison, décrit comme de gros reptiles volants. Voici une citation du World Book Encyclopaedia :

« Les dragons légendaires ressemblent étrangement à de véritables créatures qui ont vécu dans le passé. Ils sont comme les grands reptiles (dinosaures), qui ont habité la terre longtemps avant que les hommes n’aient supposément apparu sur terre13. »

Les descriptions qui sont faites de ces créatures dans les différentes cultures est un témoignage puissant que les dinosaures ont vécu en même temps que toutes les autres espèces, y comprit les humains. Pourtant l’association dragon = dinosaure n’est pas acceptée.

Voyons ce que dit Louis Jacob, auteur et ancien président de « Society of Vertebrate Paleontology ».

 »Une telle association dissiperait une terre avec une vaste antiquité. Toute l’histoire de la création, y compris le jour du repos, pourrait s’adapter aux sept jours bibliques du mythe de la genèse. L’évolution serait vaincue14. »

La présence des dragons dans l’histoire

Les récits de dragons se trouvent partout sur la terre et rapportés par des cultures n’ayant aucun contact entre elles (la Chine, les Aztèques, les Inuits…).

Nous pouvons analyser l’histoire de Saint George et le Dragon15, quoiqu’elle a été mythologisée.

Le drapeau du Pays de Galles comporte aussi un dragon16. Il est à vrai dire essentiellement composé d’un gros dragon rouge :

Il y a le cas d’Alexandre le Grand, après qu’il ait envahi l’inde17.

Voici une citation à ce sujet :

« Aelianus parle d’un dragon en inde, qui, lorsqu’il aperçut l’armée d’Alexandre à portée de main, émit un sifflement et un souffle si prodigieux qu’il effraya et troubla grandement toute l’armée: et il en rapporte un autre qui était dans une vallée près du mont Pellenaeus, sur l’île de chios, dont le sifflement était terrible18 »

Il y a aussi le cas des signes du zodiaque chinois19, qui comprend un dragon. Le motif du dragon est omniprésent en Chine, aussi bien sur les broderies et les sculptures.

Le calendrier chinois a un rat, un lapin, un tigre, etc., et comprend également un dragon. Pourquoi les chinois auraient-ils inclu une créature mythique aux milieux de tous ces animaux normaux ?

Une ville de France, Nerluc, a été renommée en l’honneur d’un dragon tué (la tarasque). L’animal était plus gros qu’un bœuf et avait de longues et pointues cornes sur sa tête. Peut être s’agissait-il d’un tricératops ou de quelque chose dans le genre.

Marco Polo apporte également son témoignage sur les dragons :

« Dans cette province vivent d’énormes serpents et serpents d’une taille telle que personne ne pourrait s’empêcher d’être étonné, ne serait-ce que d’entendre parler d’eux … ils sont d’horribles créatures à voir .. ils ont une tête et des yeux énormes tellement bombés qu’ils sont plus gros que des pains. Leur bouche est assez grande pour avaler un homme en une gorgée

Leurs dents sont énormes, dans l’ensemble, le monstre est d’une masse et d’une férocité si démesurées qu’il n’y a ni homme ni bête mais qu’il a peur d’eux … ils vont dans les tanières où les lions, les ours et les autres bêtes de proie ont leur oursons pour les engloutir – les parents ainsi que les jeunes20 »

Hérodote de son côté a aussi parlé des dragons (deuxième livre) :

On dit que les serpent ailés volent d’Arabie au début du printemps, et vont vers l’Égypte. Ils sont comme des serpents d’eau. Ils n’ont pas de plumes sur leurs ailes mais sont plutôt comme les ailes des chauves-souris.

Le livre historique européen du 16e siècle, Historiæ animalium, répertorie un certain nombre d’animaux qui seraient aujourd’hui classés parmi les dinosaures.

Le livre revendique que les dragons n’étaient pas encore « éteints » au 16ème siècle mais qu’ils étaient très rares et plus petits qu’avant21.

Ulysses Aldrovandus, un naturaliste de l’époque relate un affrontement entre un paysan nommé Baptista et un dragon dont la description correspond à Tanystropheus, un dinosaure de petite taille. Cet affrontement eu lieu en 1572, près de Bologne, en Italie.

Carl Sagan, un gagnant du prix Pulitzer, qui a écrit le livre : The Dragons of Eden, a même tenté d’expliquer que la récurrence des dragons à travers les différentes cultures du monde, était due à un souvenir que nous aurions gardé depuis l’époque où nous étions encore des mammifères, lorsque les dinosaures existaient, et qu’à travers notre ADN nous en aurions gardé le souvenir, sans pour autant que nous en ayons réellement vu.

Il explique que ce serait la peur horrible provoquée qui se serait imprimée dans notre cerveau à travers des millions d’années et qui subsisterait encore aujourd’hui. Ici encore on voit que le principe de simplicité : le rasoir d’Ockham ; n’est pas appliqué.

Des objets représentant des dinosaures dans l’antiquité et le moyen âge

Prenons note du sceau-cylindre mésopotamien qui représente de grands dinosaures. Cette créature à 4 jambes, un long cou, une longue queue et ressemble à un brachiosaure. Les cous des deux bêtes sur l’image sont enroulés autour de l’autre.

Anton Moortgart, 1969, the art of ancient mesopotamia, plate 292

Le Stégosaure d’Angkor Wat

Au Cambodge également, aux Temples d’Angkor, construit il y a plus de 800 ans, se trouve une colonne, avec un dinosaure sculpté avec 4 jambes, une queue et des plaques sur le dos, il ressemble fortement à un stégosaure.

Le contexte du «stégosaure d’Angkor» montre qu’il est représenté avec de nombreux animaux connus des habitants, comme un buffle d’eau (au-dessus du stégosaure).

Bien évidemment la critique tente d’expliquer qu’il ne s’agit pas d’un stégosaure car sa tête est trop grosse (bien que la dimension de la tête varie selon les reconstructions comme sur l’image à côté) mais il se pourrait que l’animal ait été domestiqué comme le suggère un article sur Genesispark.com.

Il se peut que cette gravure soit une représentation d’un stégosaure captif qui a été muselé, tout comme on musèle un chien aujourd’hui.

Le musellement aurait empêché un dinosaure de mordre, mais la partie la plus dangereuse du stégosaure était la queue puissante, dotée de grosses pointes. Ceux-ci pourraient facilement tuer quelqu’un si le dinosaure portait un coup, ou même s’il avait par inadvertance balayé un passant.

On peut supposer que ces pointes seraient enlevées sur des dinosaures captifs, de la même manière que nous pourrions enlever les crocs d’un serpent captif ou les griffes d’un tigre de compagnie.

Aujourd’hui encore, les défenses d’éléphants cambodgiens sont retirées des animaux utilisés en public. Les Cambodgiens auraient-ils eux-mêmes utilisé des dinosaures captifs ? Pas nécessairement, mais l’artiste a peut-être entendu des reportages d’une culture proche qui avait une longue histoire de domestication des dragons.

Il est bien connu que les Chinois ont des enregistrements historiques d’hommes interagissant avec des dragons. Le livre Zuozhuan raconte comment les «anciens ont élevé des dragons et comment l’État a utilisé les services de deux clans connus sous le nom de Dragon Rearers et de Dragon Tamers» (Sterckx 2012). Dès 1611 avant JC, l’empereur de Chine nomma le poste de Nourrisseur Royal de Dragon, un fonctionnaire dont la principale responsabilité était de livrer de la nourriture dans les étangs sacrés des dragons.

Les documents historiques parlent d’un empereur de la dynastie Song (960-1279 après JC) qui éleva des dragons dans l’enceinte de son palais (Niermann, 1994). La chanson chevauchait le calendrier de construction d’Angkor Wat. Une autre gravure à Ta Prohm semble aller dans ce sens.

Contrairement au stégosaure encadré sur la colonne, cette gravure fait partie d’une scène plus grande qui s’est principalement désintégrée.

La gravure donne un aperçu supplémentaire de la forme de la tête du dinosaure. Cette deuxième sculpture montre la tête élancée typique d’un stégosaure.

S’agirait -il du même stégosaure au repos dans son état naturel et non muselé ?

Encore une fois, il y a un étrange appareil gravé le long du cou qui captive notre attention. Dans ce cas, il a la forme d’une corde ou d’une sangle étroite qui pend et disparaît sous l’animal. On peut soupçonner que c’était un lien pour le stégosaure captif quand il n’était pas préparé pour le service public.

Ainsi, il semblerait que cette deuxième représentation renforce l’interprétation des stégosaures domestiqués. Étant donné que la queue tombe derrière un autre objet gravé, cette représentation n’éclaire pas plus la question des pointes de la queue.

L’anti-créationniste Glen Kuban plaide pour que la sculpture du stégosaure soit basée sur des découvertes fossiles.

Bien qu’il existe certainement des preuves que des ossements fossilisés ont été notés dans la Chine ancienne et, dans certains cas, retirés en tant que talismans ou broyés à des fins pharmaceutiques22), il n’y a aucune preuve que les cultures asiatiques aient assemblé des squelettes entiers ou mené des études paléontologiques des grands reptiles.

En fait, plusieurs points clés réfutent essentiellement l’hypothèse des anciens paléontologues khmers ou chinois: si les anciennes civilisations chinoise ou khmère déterraient des fossiles de dinosaures, pourquoi ne montrent-ils pas des squelettes ? Pourquoi les représenteraient-ils seulement en chair et éventuellement attachés ?

Même si les anciens Chinois étaient capables de creuser et de réassembler des ossements fossilisés en squelettes, ils n’avaient pas l’expertise et l’expérience des milliers de scientifiques et des dizaines de milliers de publications que nous avons aujourd’hui.

Les premières tentatives de reconstruction des dinosaures par les paléontologues occidentaux étaient risibles. En fait, la première équipe qui a tenté de reconstruire les stégosaures n’a pas pu déterminer où les plaques étaient situées.

Othniel Marsh était convaincu qu’elles couvraient le dos de la créature comme des bardeaux. Par conséquent, il l’a nommé «stégosaure» signifiant «lézard à toit» (Colbert 1962). Il nous a fallu quelques siècles d’expérience accumulée et même d’analyse informatique pour obtenir les modèles de dinosaures précis que nous avons aujourd’hui.

Pour les évolutionnistes, l’idée d’un stégosaure domestiqué est absurde et totalement inacceptable. Cependant, pour les créationnistes croyants en la Bible, il n’est pas difficile d’imaginer que l’homme ait capturé et utilisé certains dragons comme animaux de trait.

Partout dans le monde, différentes cultures ont exploité la faune locale: chiens de traîneau, rennes, lamas, éléphants, buffles d’eau, chameaux, chevaux, yaks et même des autruches. Si un stégosaure à petit cerveau pouvait être muselé, attelé et entraîné à tirer, il aurait pu s’avérer utile au moins comme originalité pour la royauté.

Le temple de Ta Prohm a été construit à une époque où le Cambodge avait une interaction étendue avec son voisin bouddhiste régional du nord-est et il ne serait pas surprenant que des images de dragons chinois entraînés soient incorporées dans les œuvres d’art du site.

L’interprétation du stégosaure domestiqué explique clairement la tête surdimensionnée (muselée), la suppression des pointes et les dispositifs étranges autour du cou sur les deux gravures. Les représentations de dinosaures de Ta Prohm sont une preuve solide que les hommes et les dinosaures coexistaient, tout comme l’affirme la Bible.

De plus aucun autre animal ne parait plus semblable à l’image qu’un stégosaure, les plaques sur le dos étant très révélatrices.

La tombe de l’Evêque Bell à la Cathédrale de Carlisle

Sur la tombe de l’évêque Bell, à la cathédrale de Carlisle, sont également représentés des dinosaures, dans la même position (les cous enroulés) que le sceau-cylindre mésopotamien. Ces deux pièces sont séparées de centaines d’années et de centaines de kilomètres, et elles représentent des créatures similaires.

Cette superbe image de la tombe de l’évêque Bell montre ce qui semble être des dinosaures. L’image révèle les gravures dans le filet de laiton que tout écolier identifierait innocemment comme des dinosaures sauropodes bien connus, ceux avec un long cou et une queue.

Ils semblent être engagés dans un combat avec leur cou (comme cela est également typique du comportement des girafes) ou peut-être en train de se courtiser. Les deux hypothèses sont familières dans le règne animal.

La Palette de Narmer

La palette de Narmer 23 avec les plus anciens hiéroglyphes connus montre la même chose. Toujours la position des cous enroulés.

Il est difficile de voir comment des artistes de l’Antiquité auraient pu produire de si bonnes représentations des grands reptiles de l’histoire à moins qu’ils ne les aient eux-mêmes vus ou que des témoignages précis ne leur aient été transmis par des témoins oculaires.

Il a fallu des décennies aux paléontologues modernes pour commencer à reconstruire fidèlement ces magnifiques animaux.

Ce genre d’élément conforte la thèse des créationnistes indiquant que les populations passées ont connu des dinosaures et donc qu’ils ne se sont pas éteint il y a 65 millions d’années, mais peut être pour les derniers spécimens au moyen âge.

Evidemment les partisans de l’évolution y voient des animaux mythologiques. Nous revenons donc au fonctionnement de la « médecine légale ». A partir d’une même observation il y a plusieurs histoires qui sont proposées. Ceux qui cherchent la vérité sauront toutefois apprécier l’histoire la plus cohérente.

Et encore ce présent article ne présente pas d’autres éléments (plus sujet à débat) comme les pétroglyphes de dinosaures ou les Pierres d’Ica. Nul n’est besoin d’argumenter en leur faveur puisque les éléments additionnés dans cet article permettent déjà une conclusion nette.

Terminons cette partie avec une citation du Dr chimiste Jonathan Sarfati:

La vraie science montre qu’il y a des tissus mous (et des protéines et de l’ADN) dans les os de dinosaures. La vraie science montre à quelle vitesse ces choses se décomposent, en particulier l’ADN.

Ce que la vraie science ne montre PAS, c’est le dogme des millions d’années. Mais comme les découvreurs croyaient en ce dogme, ils étaient extrêmement sceptiques au début.

Lire la suite de l’article : La disparition des dinosaures dans la perspective biblique

Et voici l’article parent de la série sur le déluge:

Références :

  1. http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/4187287.stm.
  2. https://creation.com/chickens-with-teeth.
  3. https://www.abc.net.au/news/2008-01-22/fossil-suggests-platypus-lived-in-dinosaur-times/1019588.
  4. https://www.newscientist.com/article/dn8769-jurassic-beaver-find-stuns-experts/.
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15650737.
  6. June 15, 2006, Scott Norris for National Geographic News.
  7. “Ruben, J.A., quoted in Ann Gibbons, Lung fossils suggest dinos breathed in cold blood, Science 278(5341):1229–1230, 1997.”
  8. Interview with Donald Burge, curator of vertebrate of paleontology. College of Eastern Utah Prehistoric Museum, by Doctor Carl Werner, Feb 13, 2001..
  9. https://creation.com/dinosaur-soft-tissue.
  10. https://www.youtube.com/watch?v=XEtL6XjRqMg.
  11. https://creation.com/c14-dinos.
  12. https://newgeology.us/presentation48.html.
  13. Vol 1, 1973, page 265.World Book Encyclopaedia.
  14. Louis Jacob, quest for the african dinosaurs, John Hopkins, 2000, page 61
  15. https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Georges_et_le_Dragon_(l%C3%A9gende).
  16. https://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_du_pays_de_Galles.
  17. http://historysevidenceofdinosaursandmen.weebly.com/written.html.
  18. An exposition of the old and new testament, by John Gill, D.D (in vol 9), London, 1809 edited, revise and updated by Larry Pierce, 1994-1995. In reference to Micah 1 : 8.
  19. https://en.wikipedia.org/wiki/Dragon_(zodiac).
  20. Marco Polo, the travels, Penguin, 1958, pp 178-180.
  21. Paul S. Taylor, The Great Dinosaur Mystery, 1989, pg 41..
  22. Platt, KH 13 juillet 2007.
  23. https://fr.wikipedia.org/wiki/Palette_de_Narmer.

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