la crÉation

Le Big Bang, la Cosmologie et la Bible

De nombreux chrétiens épousent aujourd’hui le Big-Bang et l’incorporent à la Bible. Ils pensent que la notion de « commencement » confirme le texte de la Genèse. Hélas ce n’est pas le cas car la théorie du Big-Bang est en contradiction avec la Bible sur un grand nombre de points. Dans cet article nous passons en revue plusieurs défauts majeurs de la théorie du Big-Bang ou encore de l’évolution cosmologique.

Quand nous levons les yeux vers le ciel aujourd’hui, nous pouvons admirer des vues incroyables, des vues que les peuples anciens n’ont pas connu jusqu’à que Galilée ne tourne le télescope vers le ciel.

Nous apercevons des nébuleuses et des galaxies de toutes tailles, formes et couleurs différentes.

Ce que nous observons est magnifique. Comment donc toutes ces choses ont-elles vu le jour ?

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La vue dominante aujourd’hui est la théorie de l’évolution. Vous pourriez dans un premier temps penser que l’évolution ne concerne que les plantes et les animaux, ce n’est pas tout à fait exact, l’évolution est en réalité une théorie composée de trois parties dont la finalité est d’expliquer l’univers tout entier.

Les trois formes de l’Evolution

  1. Il y a l’évolution biologique qui explique comment la première cellule vivante a vu le jour, comment cette cellule au cours de millions d’années s’est diversifiée pour devenir toutes les plantes et les animaux.
  2. Ensuite il y a l’évolution géologique qui explique comment la terre est née d’une boule chaude en fusion qui s’est refroidit lentement et a développé une croûte, fait évoluer l’atmosphère et finalement les couches rocheuses avec tous les fossiles.
  3. Enfin il y a l’évolution cosmologique qui explique comment les étoiles et les galaxies et les planètes et les systèmes solaires ont vu le jour.

Voici les couvertures de 4 manuels d’astronomie et ils parlent tous de l’évolution des étoiles et des galaxies:

Voici un tableau utilisé dans un cours en ligne à l’université de Harvard sur l’évolution cosmique du big bang à l’humanité:

Cette histoire sur les origines est basée sur une vision du monde qui contrôle la science aujourd’hui. C’est la vision du monde que les philosophes appellent le naturalisme, mais elle est aussi connue sous le nom d’athéisme.

Les hypothèses du modèle Evolutif

Il y a 2 hypothèses qui contrôlent la science aujourd’hui, pour ne pas dire le monde occidental dans son ensemble.

  1. La première hypothèse est que la nature ou la matière représente tout ce qui existe.
  2. La deuxième hypothèse est que tout peut, et doit être expliqué par le «temps» plus le «hasard» plus les «lois de la nature» travaillant sur la matière.

Si vous avez assez de ces choses (temps et chance), vous pouvez expliquer l’origine des étoiles et des galaxies, l’origine du système solaire, l’origine de la terre, l’origine des plantes, des animaux et de l’homme. En raison de ces hypothèses, le point de vue dominant aujourd’hui sur les origines cosmiques est la théorie du Big Bang.

Le Big Bang dans les grandes lignes

Lorsque la théorie a été initialement proposée au début du 20e siècle, on parlait de ce morceau compact de matière, d’énergie et d’espace que certains appelaient l’œuf cosmique, lequel avait développé une sorte d’instabilité et avait commencé à s’étendre avec l’espace, il s’agissait du Big Bang. Aujourd’hui, on ne parle plus de l’œuf cosmique car, bien sûr, cela soulève une question importante, d’où vient l’œuf cosmique?

Beaucoup d’astronomes et d’astrophysiciens n’aimaient pas cette question, ils déclarent donc maintenant que le « néant » s’est étendu en « quelque chose » il y a environ 13,7 milliards d’années.

Après quelques centaines de millions d’années, des nuages d’hélium et d’hydrogène ont commencé à se former et a développé des centres de gravité qui se seraient effondrés et auraient déclenché une réaction nucléaire engendrant les premières étoiles il y a 10 à 12 milliards d’années, puis certaines étoiles auraient explosé dans des supernovas et provoqué des ondes de choc dans l’univers proche ce qui entraîna l’effondrement d’autres nuages de gaz et forma de nouvelles étoiles et notre soleil serait né il y a environ 5 milliards d’années. Le système solaire proviendrait du soleil.

Voici ce qu’en dit le Professeur Paul Davies:

Le Big Bang représente la suspension instantanée des lois physiques, le soudain et abrupte éclair d’anarchie qui a permis à quelque chose de sortir de rien. C’est un vrai miracle …1

Voilà donc la vision évolutive de l’origine du cosmos basée sur des hypothèses naturalistes, mais tous les scientifiques n’acceptent pas ces hypothèses. Ainsi en est donc de ce modèle une explosion ou une expansion aléatoire aurait produit l’ordre délicat qui permet la vie sur terre.

Les hypothèses du modèle biblique

Il y a des scientifiques qui ont une vision du monde biblique et non une vision du monde naturaliste et athée. Il y a 2 hypothèses de base dans la vision biblique.

  • Le premier est: le Dieu saint éternel, bon, omniscient et tout-puissant existe et il a tout créé

C’est une hypothèse de départ très différente de «la nature est tout ce qui existe».

  • Et la 2ème hypothèse découle de celle-ci parce que ce Dieu n’est pas silencieux, c’est un Dieu qui parle et il a parlé à travers un livre, la Bible, et la Bible est:

Le témoignage véridique de Dieu, expliquant les événements clés de l’histoire afin que nous puissions interpréter correctement les preuves de l’origine et de l’histoire de la création.

Regardons donc ce que le monde nous révèle réellement et voyons quels sont les résultats et comment les hypothèses de ces différentes visions du monde correspondent à ce que nous observons réellement.

Précisions importantes sur le mot « science »

Mais avant de faire cela, nous devons simplement clarifier un mot important, et c’est le mot science. Vous avez peut-être déjà entendu cela : l’évolution est « science » et le créationnisme est « foi « ou l’évolution est une science et le créationnisme une religion.

Les évolutionnistes adorent dire cela mais chaque fois que vous entendez cela, sachez que la personne qui parle ne comprend pas vraiment ce qu’est la science, ni la nature du débat sur les origines, ou bien cette personne essaie de confondre les gens. Pour comprendre ce débat sur les origines, il faut comprendre qu’il y a deux grandes catégories de science.

Nous pouvons les appeler la « Science Opérationnelle » et la « Science des Origines ».

La science opérationnelle est ce à quoi nous pensons normalement lorsque nous pensons à la science.

On l’appelle aussi science expérimentale ou science observationnelle, c’est la science qui produit les technologies, trouvent des remèdes contre les maladies, c’est la science qui met un téléphone portable dans la poche de chacun et donc la plupart de la biologie, la chimie, la physique, la météorologie, l’ingénierie, la science médicale, sont toutes des formes de science expérimentale et observationnelle.

Il s’agit d’étudier les choses dans le présent pour voir comment elles fonctionnent et d’essayer de comprendre comment prédire les choses, comment les manipuler, comment produire de nouvelles technologies, mais ce genre de science ne répond pas à la question «comment Saturne existe-t-elle? On ne peut en effet recréer Saturne en laboratoire.

Saturne est là et vous voulez savoir ce qui s’est passé dans le passé non observé et qui a produit cette planète et ses anneaux. C’est une question historique. Et donc pour une question historique, nous faisons appel à la «Science des Origines», aussi appelée science historique. Les disciplines suivantes font partie des sciences historiques :

  • La géologie historique
  • La paléontologie qui étudie les fossiles
  • La paléoanthropologie qui étudie les fossiles humains
  • La paléoclimatologie qui tente de connaître le climat des temps reculés
  • L’Archéologie
  • La Cosmologie
  • La Médecine légale. C’est ce que font les détectives qui essaient de résoudre des affaires criminelles.

Ce sont donc différentes formes de science historique. Un mécanicien qui sait comment fonctionne une voiture ne sait pas nécessairement comment la voiture a été conçue.
Le constructeur automobile est le scientifique d’origine. Il sait comment fonctionne la voiture, mais il sait comment chaque partie de cette voiture a été conçue et assemblée.

La question des origines est une question différente de celle du fonctionnement opérationnel.

Nous savons comment certaines choses fonctionnent dans l’univers, mais cela ne nous indique pas comment ces choses ont existé premièrement.

Tous les évolutionnistes et créationnistes ont les mêmes éléments à étudier, les mêmes étoiles, les mêmes galaxies, les mêmes planètes, la même poussière d’étoile, la même lumière d’étoile et s’ils partent d’hypothèses naturalistes, ils produisent un modèle du big bang et de milliards d’années pour la formation et l’origine de ces choses.

Ceux qui commencent avec des hypothèses bibliques observent les mêmes objets et voient toutes sortes de preuves confirmant que l’univers est conçu et jeune.

Etat des lieux de la cosmologie

Regardons ce que nous dit Richard Lieu sur la cosmologie:

La cosmologie n’est même pas de l’astrophysique : toutes les hypothèses principales dans ce domaine ne sont pas vérifiées (ou invérifiables) en laboratoire, et les chercheurs sont assez à l’aise pour inventer des inconnus pour expliquer l’inconnu2.

Beaucoup d’experts reconnaissent les problèmes légitimes du modèle du Big Bang et ce ne sont pas seulement les créationnistes bibliques qui les signalent. L’univers n’offre en effet aucune expérience de contrôle. Les mêmes observations peuvent être interprétées de plusieurs manières différentes. Les cosmologistes inventent aujourd’hui toutes sortes de choses qui ont juste les bonnes propriétés pour faire fonctionner leurs théories.

Voice ce que disait l’astronome Halton Arp:

La cosmologie est unique en science en ce qu’elle est un très grand édifice intellectuel basé sur très peu de faits.

La forte tendance est de remplacer le besoin de plus de faits par la conformité, qui se voit attribuer le rôle douteux de fournir l’élément de certitude dans l’esprit des gens qui, à proprement parler, ne devrait appartenir à la science qu’avec un soutien d’observation beaucoup plus étendu3.

Voici ce que dit James M. Cline, professeur de physique:

D’où venons-nous ? Le fait que nous existons, entourés de quelque chose plutôt que de rien, peut ne pas surprendre beaucoup d’entre nous. Mais pour un cosmologiste, l’existence de choses est une affaire troublante, une question à laquelle une réponse n’a pas réussi à être proposée depuis qu’elle a été soumise aux physiciens théoriciens il y a près d’un demi-siècle.

Les meilleures théories sur l’origine de l’univers ne parviennent toujours pas à expliquer comment il a réussi à ne pas se retrouver vide.

L’existence de la matière est une pièce inachevée de la théorie du big-bang de l’origine de l’univers…4.

James Gunn, professeur d’astronomie à son tour:

« La cosmologie peut ressembler à une science, mais ce n’est pas une science. Un principe de base de la science est que vous pouvez faire des expériences reproductibles, et vous ne pouvez pas le faire en cosmologie5.

Les cosmologistes nous disent que nous vivons dans un univers rempli de choses invisibles et non observées, environ 68% d’énergie noire et 27% de matière noire. Seulement 5% du contenu matière / énergie de l’univers représentent les atomes ordinaires.

C’est une ironie de la nature que la forme d’énergie la plus abondante dans l’univers soit aussi la plus mystérieuse, depuis la découverte révolutionnaire de l’expansion cosmique qui s’accélère, une image cohérente a émergé en indiquant que 2/3 du cosmos est fait d’énergie noire – une sorte de matériau répulsif gravitationnel. Alors que cette énergie est abondante, elle ne peut être observée en laboratoire.

Appréciez cette citation du physicien retraité John Harnett qui a publié plus de 100 articles dans des journaux scientifiques.

«Je me souviens du prix Nobel Steven Chu s’adressant à un grand rassemblement de lycéens à l’occasion du congrès national de l’institut australien de physique à l’université nationale australienne de Canberra en 2005.

Il déclara que nous comprenions maintenant presque tout ce qu’il y avait à savoir sur l’univers, à l’exception de quelques petits détails, comme ce qu’est l’énergie noire et la matière noire, qui représenteraient 96% des éléments de l’univers.

96% des éléments dont l’univers est fait, et qui sont des éléments nécessaires au bon fonctionnement du modèle du Big Bang, n’ont pas été observés et ne sont même pas bien définis.

La Formation de la Lune

Voyons donc ce que l’évolution connaît sur les origines. Nous allons commencer par notre voisin le plus proche, la lune et aller ensuite de plus en plus loin dans l’espace. Considérons donc l’origine de la lune.

Les évolutionnistes ont proposé plusieurs théories sur l’origine de la lune. Nous nous concentrerons sur la théorie qui est actuellement défendue par les évolutionnistes, la théorie de l’impact géant.

L’idée ici est qu’il y eut un objet de la taille de Mars qui flottait à travers le système solaire. Il percuta la terre, rompant un énorme morceau de matériau qui devint la lune. Ainsi par chance, la Lune se trouva à la bonne distance de la terre et fut entraînée dans le mouvement autour du soleil.

Personne n’a jamais vu cela se produire. Personne n’a fait une expérience de laboratoire scientifique. On spécule sur le passé non observé pour expliquer la lune que nous voyons dans le présent. En 2003, Discover Magazine avait un article «d’où vient la lune?». Ils ont déclaré:

«En fait, l’histoire de l’origine de la Lune est encore mince sur les détails. Les experts sont divisés sur la question de savoir si la collision s’est produite avant ou après que la Terre ait atteint sa taille actuelle6

«Mince sur les détails» est une façon scientifique de dire «nous n’en avons vraiment aucune idée». Vous pensez peut-être que les choses ont changé depuis 2003, mais en 2012, sur phys.org, de nouvelles recherches ont suscité plus de questions sur les origines de la lune.

«Elle a séduit les observateurs depuis avant la tenue des registres, et aujourd’hui encore, elle remplit les poètes de réflexions pensives et les scientifiques de questions enchanteresses.

D’où vient la lune et comment est-elle arrivée? … j’espère que de nouvelles recherches nous fourniront un jour une réponse définitive. Mais jusqu’à ce jour, il semble que nous devrons tous continuer de réfléchir7 ».

Il y a des problèmes avec ces théories naturalistes.

La première est que nous voyons toujours un côté de la lune et la raison pour laquelle c’est le cas est parce que la lune tourne sur son axe au même rythme qu’elle tourne autour de la terre. Les scientifiques disent qu’elle est verrouillée par effet de marée.

Il y a beaucoup de lunes dans le système solaire qui sont verrouillées mais pas toutes et Mercure, Vénus et Mars ne sont pas verrouillées par effet de marée.

Nous pouvons être reconnaissants de cela parce que si la terre était verrouillée au soleil, elle brûlerait d’un côté et serait complètement gelée de l’autre.

Il y a un autre fait intéressant à propos de la lune et c’est qu’elle produit toutes les quelques années quelque part sur la terre une éclipse solaire, la lune glisse juste à travers notre ligne de vision et recouvre complètement le disque du soleil.

La raison en est que la lune est 400 fois plus petite que le soleil mais 400 fois plus proche de nous que le soleil.

Et les scientifiques nous disent qu’il y a 181 lunes dans notre système solaire et qu’il n’y a aucune autre relation planète-lune qui ne produise une éclipse solaire totale. Cela semble ne pas être un accident.

Nous avons mis des hommes sur la lune, nous avons laissé des équipements sur la lune, nous avons ramené des roches lunaires, nous savons certaines choses sur le fonctionnement de la lune mais les scientifiques n’ont aucune idée de la façon dont la lune est venue à l’existence.

La lune joue un rôle vital pour la terre et sa position est minutieuse, je vous laisse lire l’article suivant « la lune et le dessein intelligent » ou encore cet article « la complexité et le réglage précis de l’univers« .

Quelles sont donc les hypothèses les plus plausibles quant à la Lune ? La chance et le temps, ou bien une conception intelligente ?

Les impacts et les explosions sont-ils connus pour produire de l’ordre ?

La Formation du Système Solaire

Voyons donc ce que les évolutionnistes savent sur l’origine du système solaire et comme je l’ai déjà indiqué, ils croient que le système solaire provient d’un nuage de gaz géant qui a finalement évolué en un Soleil, puis s’est aplati, a produit les anneaux et ces anneaux sont devenus des planètes et ici sur aerospace.org, vous pouvez voir que c’est un processus simple en cinq étapes.

Mais il y a de sérieux problèmes avec la théorie naturaliste. Premièrement seule la terre est recouverte à 70% d’eau liquide. C’est le seul endroit connu de l’univers où il y a de l’eau liquide et l’eau liquide est absolument essentielle à la vie biologique.

Si la terre était un peu plus proche du soleil, nos océans se vaporiseraient. Si elle était un peu plus éloignée du soleil, nos océans et nos lacs gèleraient jusqu’au fond. Nous sommes à la bonne distance du soleil pour que la vie soit possible.

Ensuite si nous comptons Pluton et les 4 planètes intérieures, il ne s’agit que de planètes solides, alors que les planètes joviennes de Neptune, Saturne, Jupiter et Uranus, sont des géantes gazeuses avec un centre liquide, on ne peut pas atterrir sur ces planètes. Cela semble un peu étrange si l’ensemble était le résultat d’un nuage de gaz tournant lentement.

Le soleil est composé à 98% d’hélium et d’hydrogène, les 3 planètes (Mercure, Vénus, Terre) les plus proches du Soleil ne représentent que 1% de ces éléments. Ils ont des atmosphères différentes. Mercure n’a presque pas d’atmosphère. Mars a une atmosphère très mince. Vénus a une atmosphère chaude très dense et l’atmosphère terrestre est parfaite pour la vie.

Le soleil représente 99% de la masse du système solaire mais il ne dispose que d’1% de son moment angulaire (la tendance d’un astre à tourner sur lui-même). Le moment angulaire et la masse devrait être proportionnel l’un envers l’autre. Alors comment le soleil a t’il perdu son moment angulaire et l’a t’il transmis aux planètes ? Personne ne sait.

Les planètes terrestres (Venus, Mars, Terre, Mercure) qui sont proches du soleil sont relativement proches de cette zone de nuage de poussière tourbillonnant, elles devraient donc avoir une composition chimique similaire, mais elles sont toutes différentes.

Il est en de même pour les géants de gaz et de glace (Jupiter, Saturn, Uranus et Neptune). Le problème à leur égard est encore plus grand parce que Jupiter et Saturne sont immenses mais le nuage de poussière ne serait pas resté aux alentours suffisamment longtemps pour former des planètes gazeuses aussi gigantesques, elles ne devraient donc même pas être là. Il n’y a pas de mécanisme pour former des planètes.

Les planètes ont des:

  • orbites différents
  • vitesses de rotation différentes
  • inclinaisons axiales différentes
  • nombres différents d’anneaux ou de lunes ou les deux
  • atmosphères différentes

En fait, plus les partisans du paradigme évolutif envoient des sondes spatiales, plus ils sont surpris de ce qu’ils découvrent en raison de leurs attentes évolutives et uniformitaristes.

Et puis si nous comptons toujours Pluton (car elle a été rétrogradée du statut de planète en 2006), 7 des 9 planètes tournent dans la même direction qu’elles tournent autour du soleil. Mais Vénus et Pluton tournent en arrière par rapport à la direction dans laquelle elles vont.

Jupiter, Saturne et Neptune ont des lunes allant dans des directions opposées autour de la planète.

La plupart des planètes ont une inclinaison axiale qui est à peu près perpendiculaire à leur trajectoire autour du soleil, mais Uranus et Pluton sont sur leurs côtés.

Dans un manuel d’astrophysique de 1987, dans le chapitre sur le système solaire, nous lisons:

«Notre brève enquête a révélé la structure et le contenu du système solaire, mais l’histoire n’est pas close, nous pouvons interpréter avec succès bon nombre des caractéristiques observées, telles que les sources de météorites.

Cependant, une pléthore de questions sans réponse demeurent concernant l’origine de ces caractéristiques. Ces questions non résolues appellent des réponses provisoires8.

C’était en 1987, et vous pourriez pensez une fois de plus que c’était il y a plus de 30 ans, et qu’ils connaissent sûrement l’origine du système solaire maintenant.

Apparemment, ce n’était pas le cas en 2009. Le magazine New Scientist avait une première de couverture avec l’intitulé « le système solaire inconnu9». « Les six plus grands mystères de notre arrière-cour cosmique ».

  • «Comment s’est formé le système solaire?
  • Pourquoi le soleil et la lune ont-ils la même taille dans le ciel?
  • Y a-t-il une planète X?
  • D’où viennent les comètes?
  • Le système solaire est-il unique?
  • Comment ça va finir?

Ce sont des mystères persistants pour les évolutionnistes. Et pourtant quand vous ouvrez l’article, ils ont cette grande image pleine page vous montrant à nouveau, que ce n’est qu’un processus simple en cinq étapes. Mais il est toujours bon de lire les petits caractères, pas seulement les photos.

«Nous pensons que nous connaissons l’histoire du système solaire, mais seule la comparaison avec d’autres systèmes peut nous dire si cette histoire est universelle».

En 2011 les scientifiques dirent ceci:

Nous avons constaté que la terre et la lune, ainsi que les météorites martiennes et autres, qui sont des échantillons d’astéroïdes, ont une concentration d’oxygène 16 inférieure à celle du soleil », a déclaré McKeegan. «L’implication est que nous ne nous sommes pas formés à partir des mêmes matériaux de nébuleuse solaire qui ont créé le soleil. Reste à savoir comment et pourquoi10

Ils connaissent donc des choses sur le fonctionnement du système solaire, mais ils n’ont aucune idée de la façon dont le système solaire a vu le jour.

La Formation des Etoiles et des Galaxies

Alors allons plus loin dans l’espace, qu’en est-il de l’origine des étoiles et des galaxies. Steven Weinberg est un astrophysicien de renommée mondiale qui s’est exprimé lors d’une conférence en 1985, une conférence d’astrophysiciens, il a déclaré:

«Parmi les reliques les plus importantes se trouvent les structures que nous voyons dans le ciel: de nombreuses étoiles sont groupées en amas, les amas eux-mêmes avec des étoiles comme notre soleil sont groupés en galaxies, et les galaxies elles-mêmes sont groupées en amas de galaxies.

Une deuxième grande déception de l’astrophysique est que nous n’avons pas encore une compréhension claire et détaillée de la façon dont ces structures ont été formées.

Nous ne savons même pas si les plus petites structures se sont formées en premier puis se sont fusionnées en plus grandes, ou si les plus grandes structures se sont formées en premier puis se sont brisées en plus petites

Il est également un peu inquiétant que toutes ces estimations des âges et des compositions des étoiles reposent sur des calculs élaborés de ce qui se passe à l’intérieur, mais tout ce que nous observons, c’est la lumière émise par leurs surfaces11

C’était en 1985, mais voici en 2002, une photo de la première étoile en train de naître12. On peut voir en haut à gauche un nuage de gaz assez dispersé mais aussi une partie du gaz et de la poussière qui commence à se rassembler au centre, et dans l’image en haut à droite, on voit que plus de gaz est attiré par la gravité dans la zone jaune, enfin il y a la grande image, et on peut y voir au centre, dans la zone jaune, une étoile qui naît.

Cette photo a hélas été prise depuis un observatoire virtuel provenant d’un ordinateur. Le scientifique ne l’a pas vu dans un télescope. Nous n’avons jamais observé une étoile qui naît dans l’espace. L’ordinateur a été programmé selon les hypothèses de l’évolution stellaire (temps + hasard + lois de la nature).

«La majeure partie de la masse de l’Univers est invisible et personne ne sait vraiment de quoi il s’agit … La formation des étoiles est entourée de mystère.

D’une manière générale, une étoile se forme lorsqu’un nuage de gaz s’effondre par gravité. Cependant, si le nuage est trop chaud, la pression combattra l’effet de la gravité et empêchera le nuage de s’effondrer. Donc, pour former une étoile, le nuage de gaz doit avoir un moyen de se refroidir.

Ce n’est pas aussi simple que cela puisse paraître. Dans l’Univers d’aujourd’hui, cela est accompli par une vaste gamme de molécules qui entrent en collision et rayonnent de la chaleur.

Cependant, les atomes nécessaires à la fabrication de toutes les molécules sauf les plus simples – l’hydrogène moléculaire – doivent être fabriqués à l’intérieur des étoiles. C’est la situation de l’oeuf et la poule13.

En d’autres termes, il faut des étoiles pour faire des étoiles mais la question est d’où viennent les premières étoiles? Le problème de l’œuf et la poule est récurrent en Science. On le retrouve aussi dans l’ADN.

L’ADN permet la synthèse des protéines, mais les protéines sont nécessaires pour faire la synthèse, Lequel était là avant ? L’ADN ou les protéines ? Or les deux sont nécessaires simultanément. Dans le modèle biblique, Dieu a créé le premier couple « poule et coq », et œuf est donc venu après.

John Mather, qui était à l’époque au Goddard Space Flight Center de la NASA dans le Maryland et a remporté un prix Nobel pour son travail sur le Big Bang, a déclaré:

Nous n’avons aucune preuve directe de la façon dont les galaxies se sont formées, comment les premières étoiles se sont formées sans l’aide des générations précédentes d’étoiles, comment les galaxies ont évolué, qu’elles aient été formées à partir d’agrégations d’unités plus petites ou de subdivisions de grandes.

Tout s’est passé à l’âge sombre cosmique. Cela va droit au cœur de la question de comment nous sommes arrivés ici14.

Les scientifiques athées n’en ont aucune idée mais c’est pire que cela, non seulement ils n’ont jamais vu naître une étoile ou une galaxie, mais ils ne savent pas comment cela s’est produit, en 2014 Neil deGrasse Tyson était l’hôte d’un documentaire télévisé (Le Cosmos) en huit parties qui a été diffusé dans de nombreux pays.

Tyson est un athée ouvert et il fit une version révisée de la série sur le cosmos que Carl Sagan avait faite dans les années 80. Quelques années avant la présentation de ce programme, il déclara ceci:

«Si aucun de nous ne savait à l’avance que les étoiles existent, la recherche de première ligne offrirait de nombreuses raisons convaincantes pour lesquelles les étoiles ne pourraient jamais se former15»

Non seulement ils n’ont jamais vu une étoile naître, mais ils ne savent pas non plus comment une étoile pourrait naître et tout ce que nous savons indique qu’il ne devrait pas y avoir d’étoile.

Le constat est le suivant, les scientifiques qui appartiennent majoritairement au paradigme naturaliste ne savent pas comment la lune est venue à l’existence, pas plus que le système solaire, les étoiles et les galaxies. Mais alors que savent-ils au sujet de l’origine de l’Univers ?

Voici une citation quelque peu rigolote:

Parmi les problèmes en suspens, citons comment et quand l’univers a commencé, comment les galaxies se sont formées et ont atteint leur éventail observé de formes et de tailles, comment les étoiles sont nées et comment les planètes et la vie ont évolué16.

Les preuves du Big Bang tiennent-elles la route?

L’une des prétendues preuves du modèle du big bang serait le fond diffus cosmologique ou FDC. Il s’agit d’un rayonnement très faible dont la fréquence atteint un pic autour de 160 GHZ, ce qui correspond à la gamme de fréquences micro-ondes, d’où la désignation micro-ondes.

Le rayonnement a été découvert en 1964 et peu de temps après, il a été affirmé que ce rayonnement était la rémanence de l’explosion ou de la boule de feu d’origine du big bang.

Depuis le moment où le rayonnement émis a été par la boule de feu, l’univers se serait prétendument étendu et ce rayonnement de rémanence se serait refroidi à des longueurs d’onde beaucoup plus longues. Les longueurs d’onde ont été étirées de l’infrarouge à la partie micro-ondes du spectre. Et c’est ce que détectent les télescopes à micro-ondes aujourd’hui.

Selon la théorie, la boule de feu Big Bang devrait être la source de lumière la plus éloignée de toutes. Ainsi, tous les amas de galaxies seraient au premier plan de cette source. Ainsi, tout le rayonnement FDC devrait passer à travers les amas de galaxies entre la source et l’observateur, nos télescopes ici sur terre.

Si donc le big bang était vrai, la lumière de la boule de feu devrait projeter des ombres au premier plan de toutes les galaxies.

Voici le problème: dans l’Astrophysical Journal de 2006, 31 amas de galaxies ont été étudiés et aucune ombre n’a été détectée. Les résultats ont été rapportés dans sciencedaily.com sous le titre «La rémanence du big bang échoue au test d’ombre intergalactique».

Une équipe de scientifiques, dirigée par le Dr Richard Lieu, a conclu que «soit (le FDC) ne vient pas de derrière les amas, ce qui signifie que le Big Bang est réfuté ou … il y a autre chose qui se produit.

Les résultats de cette étude ne sont toujours pas réfutés. Cela signifie que la source du FDC doit être locale et non pas du big bang. Le modèle du Big Bang comporte des problèmes majeurs.

  • La matière noire et l’énergie noire sont nécessaires mais ne peuvent être observées.
  • La radiation du FDC n’est pas à l’arrière comme prévu.

Le décalage vers le rouge

Un autre élément clé du modèle du Big Bang concerne l’énergie décalée vers le rouge provenant d’objets éloignés, galaxies et ainsi de suite. Un quasar avec un énorme décalage vers le rouge a été trouvé intégré dans une galaxie voisine avec un décalage vers le rouge beaucoup plus faible.

Si les objets se déplacent très rapidement, nous pouvons le mesurer par un changement de couleur dans la lumière que nous observons.

C’est l’effet doppler. Avec la lumière, nous pouvons voir le changement de fréquence comme un changement de couleur. Si un objet se déplace vers nous, nous pouvons mesurer une fréquence plus élevée ou un décalage vers le bleu, et s’il recule, alors nous voyons une fréquence plus basse ou un décalage vers le rouge.

Edwin Hubble a découvert qu’en général pour les galaxies, plus le décalage vers le rouge est grand, plus la distance de nous est grande, cela est maintenant appelée la loi de Hubble. Parce qu’il a déterminé leurs distances par un moyen indépendant, il a pu confirmer que la loi fonctionnait pour les galaxies spirales brillantes.

L’idée a maintenant été extrapolée à tous les objets de l’univers, et c’est une partie essentielle des modèles du big bang. Ainsi, le modèle dit que les choses les plus éloignées de nous s’éloignent plus rapidement de nous que les choses plus proches de nous, donc plus l’objet est éloigné, plus le décalage vers le rouge est élevé.

Il y a certains objets appelés quasars (ou objets quasi stellaires) qui ont un énorme décalage vers le rouge, donc selon l’interprétation standard du décalage vers le rouge, ils sont censés être au bord même de l’univers visible.

Selon la loi Hubble, la galaxie NGC 7319 avec un décalage vers le rouge de 0,022 se trouve à environ 360 millions d’années-lumière. Mais comme le quasar a cent fois le décalage vers le rouge de la galaxie, il doit reculer environ 100 fois plus vite et être 30 fois plus loin.

Si c’était vrai, ces objets ne pourraient pas être physiquement connectés les uns aux autres. Et c’est exactement ce que les théoriciens du big bang déclarèrent au début, que les objets semblent simplement proches, car le quasar se trouve être dans la même ligne de vue que la galaxie, bien qu’il soit des milliards d’années-lumière derrière.

Cependant, le quasar nouvellement découvert interagit avec le matériau gazeux de sa galaxie hôte. Il y a un fort écoulement de gaz détecté suggérant que le quasar est en fait éjecté de la galaxie et qu’il transporte une partie de la matière à proximité. Le quasar est donc vraiment dans cette galaxie.

Les théoriciens du big bang rejettent fermement l’interprétation selon laquelle ce quasar est connecté à la galaxie, même si elle est basée sur une observation, car elle infirme une hypothèse clé sur la façon dont la matière s’est formée dans le big bang.

La Terre serait-elle positionnée au centre de l’univers?

Lire l’article suivant à ce sujet (et notamment le chapitre dédié):

L’Origine de l’univers

Continuons avec Steven Weiberg:

«Vous avez peut-être remarqué que, malgré tous ces mots courageux, je n’ai pas expliqué l’origine de l’univers. La raison, bien sûr, est que c’est une question sur laquelle les scientifiques n’ont pas encore d’idée claire … il se peut que nous ne sachions jamais, tout comme nous n’apprendrons peut-être jamais les lois ultimes de la nature. Mais je ne parierais pas la dessus17»

Pour ma part, je ferais le pari qu’à travers un modèle naturaliste, on ne saura jamais. La Bible est claire à ce sujet:

Hébreux 11 : 3

C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles.

David Darling est un astronome britannique, docteur, de l’Université de Manchester, il dit ceci:

«Ne laissez pas les cosmologistes vous berner sur ce sujet. Ils n’en ont pas non plus la moindre idée … Au début, diront-ils, il n’y avait rien – pas de temps, d’espace, de matière ou d’énergie. Il y avait une fluctuation quantique à partir de laquelle-whoa! Arrêtez vous là.

Vous voyez ce qu’ils signifient? D’abord, il n’y a rien et ensuite il y a quelque chose – et avant que vous le sachiez, ils ont tiré cent milliards de galaxies de leurs chapeaux quantiques18

En 2004, un article est paru dans New Scientist, qui est un magazine scientifique hebdomadaire qui résume la littérature scientifique pour le public. Son orientation est clairement évolutionniste. Ils ont publié un article d’une page qui a été simultanément publié sur Internet. L’article était intitulé «bucking the big bang (contre le big bang)».

Il a été écrit par Eric Lerner mais il a été signé par 34 scientifiques de 10 pays, tous issus d’universités prestigieuses ou d’organisations scientifiques. Lisons quelques déclarations de cet article d’une page qui est toujours sur Internet.

«Le big bang repose aujourd’hui sur un nombre croissant d’entités hypothétiques, des choses que nous n’avons jamais observées – l’inflation, la matière noire et l’énergie noire en sont les exemples les plus marquants. Sans eux, il y aurait une contradiction fatale entre les observations des astronomes et les prédictions de la théorie du big bang. »

«Mais le big bang ne peut survivre sans ces facteurs d’embellissement. Sans le champ d’inflation hypothétique, le big bang ne prédit pas le fond diffus cosmologie isotrope lisse qui est observé, car il n’y aurait aucun moyen pour les parties de l’univers qui ne sont pas à plus de quelques degrés dans le ciel d’arriver à la même température et émettent ainsi la même quantité de rayonnement micro-ondes19

C’est un problème qui résulte de l’observation que la température du rayonnement de fond est essentiellement la même partout, dans toutes les directions (avec une précision d’une partie sur 100 000). Mais selon les théoriciens du big bang, dans l’univers primitif, la température du rayonnement de fond aurait été différente à différents endroits de l’espace en raison de la nature aléatoire des conditions initiales.

Ainsi, ces différentes régions pourraient atteindre la même température si elles étaient en contact étroit. Des régions plus éloignées parviendraient à l’équilibre en échangeant le rayonnement au fil du temps.

En d’autres termes, le rayonnement transporterait l’énergie des régions plus chaudes vers les régions plus froides jusqu’à ce qu’elles aient les mêmes températures que les scientifiques observent maintenant.

Le problème est le suivant: même en supposant l’échelle du temps du Big Bang de milliards d’années, l’énergie n’a pas eu suffisamment de temps pour voyager à la vitesse de la lumière entre des régions de l’espace largement éloignées, comment donc ces différentes régions peuvent-elles avoir des températures aussi égales ?

C’est une autre différence entre les observations scientifiques et le modèle du big bang. La lettre ouverte rapporte également ceci:

«Dans aucun autre domaine de la physique, ce recours continuel à de nouveaux objets hypothétiques ne serait accepté comme un moyen de combler le fossé entre théorie et observation. Cela soulèverait, à tout le moins, de sérieuses questions sur la validité de la théorie sous-jacente. »

«De plus, la théorie du Big Bang ne peut se targuer d’aucune prédiction quantitative validée par la suite par des observations. Les succès revendiqués par les partisans de la théorie résident dans sa capacité à adapter rétrospectivement les observations à un éventail de paramètres ajustables en constante augmentation ».

Voilà une déclaration dévastatrice car l’un des tests d’une théorie scientifique robuste est que vous pouvez l’utiliser pour faire des prédictions qui sont ensuite vérifiées ou révélées fausses par des observations.

« Nous partons d’une fondation fragile », explique le cosmologiste Carlos Frenk de l’Université de Durham, au Royaume-Uni.

« Nous ne comprenons pas comment une seule étoile se forme, mais nous voulons comprendre comment 10 milliards d’étoiles se forment. »

Son collègue théoricien Simon White de l’Institut Max Planck d’astrophysique à Garching, en Allemagne, est d’accord: «Les recettes simples des modèles publiés ne reproduisent pas la formation d’étoiles que nous voyons. Les théoriciens doivent maintenant grandir20. »

Hélas, il est difficile d’aller à l’encontre des consensus et de la pression des majorités.

… En cosmologie aujourd’hui, le doute et la dissidence ne sont pas tolérés, et les jeunes scientifiques apprennent à garder le silence s’ils ont quelque chose de négatif à dire sur le modèle standard du big bang. Ceux qui doutent du big bang craignent que cela ne leur coûte leur financement.

Même les observations sont désormais interprétées à travers ce filtre biaisé, jugées bonnes ou mauvaises selon qu’elles soutiennent ou non le big bang.

Ainsi, les données discordantes sur les décalages vers le rouge, les abondances de lithium et d’hélium et la distribution des galaxies, entre autres, sont ignorées ou ridiculisées. Cela reflète un état d’esprit dogmatique croissant qui est étranger à l’esprit de libre recherche scientifique21.

La science est la culture du doute. La plupart des découvertes scientifiques sont faites par des scientifiques qui remettent en question les croyances générales, qui posent de nouvelles questions, font de nouvelles expériences et explorent de nouveaux procédés.

Les évolutionnistes se protègent souvent derrière la notion du consensus et de la majorité, qui n’a pourtant aucune substance et légitimité en science, comme Michael Crichton le précise éloquemment :

Soyons clairs : le travail de la science n’a rien à voir avec le consensus. Le consensus est une affaire de politique. La science, au contraire, ne nécessite qu’un seul enquêteur qui se trouve avoir raison, ce qui signifie qu’il ou elle a des résultats qui sont vérifiables par référence au monde réel.

En science, le consensus n’est pas pertinent. Ce qui est pertinent, ce sont des résultats reproductibles. Les plus grands scientifiques de l’histoire ont précisément été « grands » parce qu’ils ont rompu avec le consensus. La science du consensus n’existe pas22.

Mais il faut du courage pour aller contre la majorité. Les chrétiens ne devraient pas être étonnés que le modèle biblique ne soit pas défendu par « la majorité ». Les prophètes de l’ancien testament étaient très solitaires et peu soutenus par la population. Jésus lui-même fut exécuté par la majorité, et les apôtres n’étaient pas non plus rangés derrière la majorité.

Le combat de la vérité en est ainsi, il est très solitaire, et cela trouve sa logique dans le modèle biblique qui indique que le véritable ennemi n’est pas fait de chair et de sang, et qu’il contrôle le monde entier via des ficelles complexes. La vérité est par nature exclusive et intolérante. Elle implique que les autres versions sont fausses.

Selon les mots de Jésus lui-même, son retour sera similaire au déluge du temps de Noé, où « la majorité » avait été emportée.

Eric Lerner faisait ses déclarations sur le Big Bang en 2004 et alors qu’il avait commencé avec 34 signatures de 34 scientifiques de 10 pays, en 2011, sa lettre ouverte était signée par plus de 400 scientifiques de plus de 50 pays.

En 2011, Scientific American avait une couverture avec l’intituté «lacunes quantiques dans la théorie du big bang» (quantum gaps in Big Bang Theory).

Pourquoi notre meilleure explication de la façon dont l’univers a évolué doit être corrigée ou remplacée

L’article a été écrit par Paul Steinhardt, professeur Albert Einstein en sciences et directeur du Princeton Center for Theoretical Science de l’Université de Princeton.

Le titre de son article «le débat sur l’inflation», avec la sous-question «la théorie au cœur de la cosmologie moderne est-elle profondément imparfaite?»

Steinhardt pense que la théorie de l’inflation est profondément erronée et il a proposé ce qu’il appelle une théorie cyclique qui est encore plus ridicule car il croit en une série d’expansions et de contractions de plusieurs univers sur des milliards d’années mais le seul univers que nous connaissons est celui dans lequel nous vivons.

L’idée du multivers et des univers multiples est acceptable en science-fiction, mais le mot « univers » englobe par nature tout ce qui existe. Donc, croire en des univers multiples pendant des milliards d’années révèle à quel point il pense que la théorie du Big Bang est mauvaise.

Dans l’article, il a ce graphique montrant la poussée de croissance ultime de l’univers. Sur la verticale, il y a le temps depuis le début du Big Bang et il est répertorié en secondes. Cela fait 13,8 milliards d’années et à l’horizontale, il y a la taille de l’univers depuis « rien » à sa taille actuelle, puis il y a cette ligne avec des points en couleur sur le graphique. Et il y a des lignes horizontales et la ligne horizontale inférieure est la limite de l’observation directe.

En d’autres termes, ils ne peuvent voir qu’une petite partie de cette expansion, mais en réalité ils n’observent pas l’expansion de l’univers, ils observent le décalage vers le rouge de la lumière des étoiles (dont nous avions vu les défauts).

Si vous regardez une source de lumière dans un laboratoire à travers cet appareil, un collimateur et un spectromètre, il étalera les couleurs du spectre lumineux et produira des raies spectrales.

Si vous regardez un objet dans l’espace à travers le même appareil, il produira un spectre mais ces raies spectrales seront généralement décalées vers l’extrémité rouge du spectre.

Certains objets sont décalés vers le bleu, mais la plupart des objets sont rouges et ils ne sont pas tous décalés vers le rouge à la même quantité. Qu’est-ce que cela veut dire ?

Edwin Hubble, qui a donné son nom au célèbre télescope Hubble, a interprété ce fait du décalage vers le rouge au début des années 1920 comme une preuve de l’expansion de l’univers et il a conclu que plus le décalage vers le rouge est éloigné, plus l’objet est éloigné et plus il s’éloigne rapidement de nous, un peu comme l’effet Doppler.

Le décalage vers le rouge signifie que l’objet s’éloigne de nous et le décalage vers le bleu qu’il se dirige vers nous. Ils n’ont donc pas observé l’expansion de l’univers. Ils observent le décalage vers le rouge et l’interprètent comme une preuve de mouvement, mais cela peut être une mauvaise interprétation comme nous l’avions vu plus haut avec les quasars.

La prochaine limite dans le graphique est la limite de l’observation indirecte, ce qui signifie qu’ils doivent faire un tas d’hypothèses et les ajouter à leurs observations. Si donc il y la limite d’observation directe puis la limite d’observation indirecte, que représente le reste du graphique ?

Eh bien, il n’est basé sur aucune observation, c’est de la pure imagination, basée sur des hypothèses naturalistes.

Sir Fred Hoyle était un astrophysicien très célèbre, il est décédé en 2001 et était un opposant au Big Bang. C’est lui qui a en fait inventé le terme de dérision du Big Bang. Il a déclaré:

Aujourd’hui, la science est enfermée dans des paradigmes. Chaque avenue est bloquée par des croyances erronées, et si vous essayez de faire publier quelque chose par un journal aujourd’hui, vous vous heurterez à un paradigme et les éditeurs le rejetteront23.

Halton Arp, est un autre astrophysicien de renommée mondiale, il était un athée américain et également un opposant au Big Bang, il a déclaré:

« Les scientifiques, en particulier dans les institutions les plus prestigieuses, suppriment et ridiculisent régulièrement les découvertes qui contredisent leurs théories et hypothèses actuelles, les astronomes se sentent désormais obligés d’adapter les observations à la théorie et non l’inverse24. »

Résumons donc :

  • L’origine de l’œuf cosmique – Inconnue
  • « Quelque chose » qui serait venu de « rien » ? C’est une absurdité scientifique.
  • L’origine de la lune – Inconnue
  • L’origine du système solaire – Inconnue
  • L’origine -des étoiles & galaxies – Inconnue

Le Big Bang apparaît bien plus comme un mythe peu crédible et pourtant enseigné comme un fait scientifique prouvé.

Y a-t-il d’autres planètes habitables dans l’univers?

Pour ce sujet, je vous renvoie également à l’article suivant (voir le chapitre dédié) que je vous avais déjà proposé plus haut:

Une bonne théorie fait de bonnes prédictions

Le modèle créationniste n’est pas majoritaire chez les scientifiques mais il s’est révélé à plusieurs reprises pertinents en prédisant des résultats obtenus par des mesures dans l’espace. Par exemple, le Dr Russel Humphreys proposa que Dieu eût d’abord crée la terre et d’autres corps célestes à partir de l’eau.

Selon son modèle biblique, Dieu a transformé une grande partie de l’eau en d’autres substances et sur la base d’hypothèses plausibles sur le magnétisme initial et un âge biblique de la création, Humphreys a également calculé les champs magnétiques des autres planètes (et du soleil).

Son modèle a fait la prédiction des forces de champs magnétiques que nous observons et explique les caractéristiques qui sont un casse-tête pour les évolutionnistes. Ils incluent le champ magnétique puissant de la lune dans le passé et le champ puissant de Mercure, bien que les deux tournent très lentement.

Les prédictions faites à partir d’un modèle biblique ont donc été vérifiées scientifiquement. En 1984, Humphreys a prédit que les intensités des champs d’Uranus et de Neptune étaient environ 100 000 fois les prévisions évolutives de la théorie dynamo.

Les deux modèles rivaux ont été testés lorsque le vaisseau spatial Voyager 2 a survolé ces planètes en 86 et 89. Les champs pour Uranus et Neptune étaient exactement comme Humphreys l’avait prédit25.

Quand on part avec les bonnes hypothèses, on obtient les bonnes conclusions. Pourtant, de nombreux anti-créationnistes considèrent le modèle créationniste comme non scientifique car il ne ferait apparemment aucune prédiction.

Ce sujet des champs magnétiques est davantage développé dans l’article :

Ceci contraste avec les déclarations scientifiques sur le Big Bang:

«Regardez les faits», déclare Riccardo Scarpa de l’Observatoire européen austral à Santiago du Chili.

« Le modèle de base du big bang ne parvient pas à prédire ce que nous observons dans l’univers de trois manières principales. » La température de l’univers d’aujourd’hui, l’expansion du cosmos, et même la présence de galaxies, ont tous poussé les cosmologistes à chercher des solutions.

«Chaque fois que le modèle de base du big bang ne parvient pas à prédire ce que nous voyons, la solution a été de proposer quelque chose de nouveau: l’inflation, la matière noire et l’énergie noire», explique Scarpa.

Pour Scarpa et ses collègues dissidents, le bricolage a atteint un niveau inacceptable. Tout cela pour sauver la notion que l’univers est devenu un état chaud et dense. « Ce n’est pas de la science », explique Eric Lerner, président de Lawrenceville Plasma Physics à West Orange, New Jersey….

« Les prévisions du Big Bang sont toujours fausses et sont corrigées après l’événement. » À tel point que le «modèle standard» actuel de la cosmologie est devenu un vilain méli-mélo comprenant la théorie de base du big bang, l’inflation et une généreuse portion de matière noire et d’énergie noire26.”

Comment pourrions-nous voir les galaxies distantes dans un jeune univers ?

Un article traite de ce sujet en particulier.

L’Age de l’Univers

Qu’en est-il de l’âge de l’univers ? Si vous ne savez pas comment quelque chose est venue à l’existence, vous ne pouvez pas savoir QUAND cette chose est venue à l’existence.

Les estimations évolutives de l’âge de l’univers sont basées sur les mêmes hypothèses naturalistes qui sont incorporées dans le Big Bang pour expliquer comment l’univers a vu le jour mais nous avons constaté qu’ils n’en savent rien.

On ne peut pas toujours faire confiance à Wikipédia, mais on peut leur faire confiance quand ils parlent de l’évolution parce que leurs articles sont rédigés par des évolutionnistes et les notes de bas de page renvoient à littérature technique évaluée par les pairs. Voici ce qu’un article Wikipédia dit sur l’âge de l’univers :

« Le calcul de l’âge de l’univers n’est exact que si les hypothèses intégrées dans les modèles utilisés pour l’estimer sont également exactes27. »

Ils présentent ce tableau dans l’article. Vous pouvez voir au tout début l’univers naissant en bas. La gravité primitive, puis la première expansion cosmique de la lumière, la matière noire, l’énergie noire, et puis on a la première créature unicellulaire et la photosynthèse et les créatures multicellulaires et finalement les hommes.

L’article dit aussi:

En cosmologie physique, l’âge de l’univers est le temps écoulé depuis le Big Bang … Les mesures du rayonnement de fond cosmique donnent le temps de refroidissement de l’univers depuis le Big Bang, et les mesures du taux d’expansion de l’univers peuvent être utilisées pour calculer son âge approximatif en extrapolant en arrière dans le temps.

On constate qu’ils supposent que le Big Bang est véridique. Ils supposent que l’univers s’est agrandi et refroidi à un certain rythme et ils font encore plus d’hypothèses, ils supposent que même si l’univers se développe en ce moment, il s’est développé à partir d’un simple point. Mais voici un autre son de cloche en 2017:

«Une nouvelle estimation de la vitesse à laquelle l’univers se développe soutient un côté d’un débat en cours favorisant une expansion plus rapide.

Les observations des supernovas de type 1a impliquent un taux d’expansion plus rapide ‘(connu sous le nom de constante de Hubble) que les études sur le fond des micro-ondes cosmiques … si le désaccord persiste, cela pourrait indiquer quelque chose qui cloche dans la compréhension des scientifiques du cosmos, peut-être lié à la mystérieuse énergie noire qui accélère l’expansion de l’univers28. »

Quand nous étudions l’origine ou l’âge de l’univers, il y a certains objets qui nous permettent de croire que la réalité est très différente de ce qu’en pensent les évolutionnistes.

En ce qui concerne notre système solaire qui aurait 5 milliards d’années, il y a des comètes à courte période. Les comètes à courte période tournent autour du soleil environ tous les 200 ans, les comètes à longue période prennent plus de temps à faire le tour du soleil.

Mais chaque fois qu’une comète fait le tour du Soleil, elle se déplace sur une orbite très elliptique et elle se rapproche assez du soleil sur une portion de l’orbite. Et quand c’est le cas, la chaleur et l’énergie provenant du soleil font fondre une partie de sa glace et brisent certaines de ces roches.

La comète ne fera le tour du soleil qu’un certain nombre de fois avant que ce ne soit le dernier tour et qu’elle ne soit soufflée entièrement.

C’est un problème dans le modèle évolutif qu’il y ait des comètes dans notre système solaire car si celui-ci avait vraiment 4,5 milliards d’années, il ne devrait plus y avoir de comètes, elles auraient dû toutes être détruites.

Les évolutionnistes ont présenté deux hypothèses pour expliquer la provenance de plus de comètes dans notre système.

  • L’un est la ceinture de Kuiper qui est juste après l’orbite de Neptune, il y a des objets là-bas mais ils sont trop grands et de mauvaises compositions.
  • Et puis il y a le nuage d’Oort qui serait positionné après l’orbite de Pluton mais il n’a jamais été observé. Nous sommes donc dans le royaume de la supposition.

De plus les évolutionnistes doivent aussi expliquer comment ces objets auraient pu se mettre en orbite. Récemment, une sonde spatiale passant par Pluton a pris des images rapprochées d’une région près de Pluton, révélant une surprise géante, une chaîne de montagnes jeunes.

Ce que les évolutionnistes observent les surprennent souvent car ils partent d’une hypothèse évolutive de longs âges et les observations ne cadrent pas.

N’hésitez pas à lire ces articles qui traitent du même sujet :

La Création dans la Bible

Psaumes 33 : 6;9

Les cieux ont été faits par la parole de l’Éternel, Et toute leur armée par le souffle de sa bouche.

Car il dit, et la chose arrive; Il ordonne, et elle existe

Psaumes 19 : 1

Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l’étendue manifeste l’oeuvre de ses mains.

Les explosions et les impacts ne produisent pas de conception. Les explosions produisent le désordre. Le design est toujours produit par un esprit ordonné.

Genèse 1 : 14-15

Dieu dit: Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi.

La mention des signes, des saisons et des années, montre également que les jours de genèse 1 sont des jours littéraux. Dieu nous dit pourquoi il a créé ces choses. Pour que nous puissions mesurer les années, les saisons et les jours.

Le mouvement des corps célestes nous permet effectivement de mesurer l’année littérale, les saisons littérales et les jours littéraux.

Genèse 1 : 16

Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit; il fit aussi les étoiles.

La Bible enseigne clairement que le soleil, la lune et les étoiles ont tous été créés le 4ème jour.

Les Chrétiens doivent-ils accepter le Big Bang ?

Certains chrétiens croient ce que la Bible enseigne sur l’avenir, mais ils ne croient pas ce que la Bible dit du passé. Dans le même temps, ils ne croient pas ce que les évolutionnistes disent du futur mais ils croient ce qu’ils disent sur le passé.

Le Big Bang est faux parce que les hypothèses naturalistes sont fausses. Et c’est un sujet très important pour les chrétiens. Les scientifiques athées n’épargnent le christianisme de coups de boutoir. Ils conduisent des masses de gens à l’athéisme.

Lawrence Krauss, astrophysicien, Arizona State University, octobre 2009:

Ce qui est étonnant, c’est que chaque atome de votre corps provient d’une étoile qui a explosé … C’est vraiment la chose la plus poétique que je connaisse en physique, vous êtes tous des poussières d’étoiles, vous ne pourriez pas être ici si les étoiles n’avaient pas explosé parce que les éléments, le carbone, l’azote, l’oxygène et toutes les choses qui comptent pour l’évolution ont été créés au début des temps, ils ont créé les fours nucléaires et la seule façon dont ils ont pu pénétrer dans votre corps est que les étoiles ont eu la gentillesse d’exploser, alors oubliez Jésus, les étoiles meurent pour que vous puissiez être ici aujourd’hui.

Le Big Bang et les trois formes de l’évolution sont par nature anti-bibliques, ils conduisent les gens à l’athéisme et à la perdition. C’est pourquoi les chrétiens doivent présenter le message biblique tel qu’il est, et ne pas avoir peur d’indiquer que la Bible enseigne que le monde à moins de 10 000 ans et qu’il a été créé en 6 jours.

Il faut faire confiance à l’Eternel, la science tend à démontrer que le monde est jeune et créé. L’athéisme est une religion déguisée en science. Appréciez cette citation:

«L’athéisme est tellement insensé. Quand je regarde le système solaire, je vois la Terre à la bonne distance du soleil pour recevoir les quantités appropriées de chaleur et de lumière. Cela n’est pas arrivé par hasard.

Ce plus beau système du soleil, des planètes et des comètes, ne pouvait provenir que du conseil et de la domination d’un être intelligent29. »

Cette déclaration a été prononcée par un scientifique considéré comme le plus grand scientifique de tous les temps, Sir Isaac Newton.

Les cieux proclament la gloire de Dieu. Ils crient un Créateur, ils ne crient pas le temps, le hasard et les lois de la nature. La Bible est le livre d’histoire de l’univers. Elle nous raconte comment il a vu le jour, nous dit ce qui va arriver et nous explique pourquoi chacun de nous a un problème et ce que Dieu a fait à ce sujet par le Seigneur Jésus-Christ et pourquoi nous avons besoin de lui.

La plupart des scientifiques disent donc que le Big Bang s’est produit il y a des milliards d’années et nombreux sont ceux qui les croient sur parole.

Préférons donc la création biblique, il y a environ 7500 ans, dans un délai de six jours. Tout le monde, chrétiens et non chrétiens, doit choisir quel Parole croire, car la question a une signification éternelle.

Mais ce n’est pas un choix entre la Bible et la Science car la vraie science confirme ce que dit la Bible. Il y a un lourd tribut à payer pour s’abandonner à la tentation de l’acceptabilité athée du moins en physique et en astronomie.

La séquence des événements du Big Bang est hautement incompatible avec la séquence des évènements dans la genèse. Par exemple le soleil vient avant la terre dans le modèle du big bang. C’est le contraire dans le modèle biblique.

Aussi cette évolution cosmologique se déroulant sur des milliards d’années est en contraste avec les paroles de Jésus qui renvoie le commencement à l’époque d’Adam et Eve il y a moins de 10 000 ans.

Il s’agit donc d’abandonner le déluge biblique et d’accepter la mort et la maladie avant le péché d’Adam et Eve et d’induire que Dieu avait inclus la mort dès le début, avant le péché, lequel a pourtant envoyé Jésus à la croix. Le monde a été créé parfait dans la Bible, et il a été ruiné par le péché.

Voici le conseil du physicien et cosmologiste John Hartnett:

«Les idées modernes sur l’origine de l’univers contiennent de nombreuses théories et formules mathématiques complexes.

Beaucoup de gens sont dupes en pensant que parce que deux plus deux égalent quatre, les maths du big bang doivent être correctes.
Mais dans la plupart des cas, ces formules ne sont ni prouvables ni testables – elles restent complètement théoriques et les modèles qu’elles prennent en charge sont basés sur des hypothèses de départ non prouvables.

Les chrétiens, en particulier, ne devraient pas s’en inquiéter30»

Un chrétien qui marie sa théologie avec la science du jour sera probablement bientôt veuf. Nous devons partir de la Bible afin de mieux comprendre la science et d’éviter de construire des maisons sur le sable.

Colossiens 1 : 16

Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.

Lire d’autres articles :

Le déluge biblique de Noé a-t-il eu lieu ?

La Sélection Naturelle et les Mutations Génétiques sont-ils “moteurs de l’Evolution” ?

La Génétique, l’ADN et l’Origine de la Vie – Créationnisme

Les Origines et les Bases Bibliques de la Science Moderne

Datation Radiométrique – Age des Roches, Fossiles et de la Terre – Créationnisme

La Complexe Evolution des Espèces – Créationnisme


Références:

  1. Prof Paul Davies, The Edge of Infinity.
  2. Richard Lieu (Distinguished Professor of Astrophysics, University of Alabama), ΛCDM cosmology: how much suppression of credible evidence, and does the model really lead its competitors, using all evidence? 17 May 2007; arxiv.org/abs/0705.2462v1.
  3. Halton Arp (1927–2013, Max Planck Institute for Astrophysics; Geoffrey Burbidge, Center for Astrophysics and Space Sciences at the University of California), Fred Hoyle (1915–2001, famous astronomer who coined the term ‘Big Bang’); Jayant Narlikar (Emeritus Professor at the Inter-University Center for Astronomy and Astrophysics); and Chandra Wickramasinghe (Director of the Buckingham Centre for Astrobiolgoy, University of Buckingham), The extragalactic universe: an alternative view, Nature 346:812, 1990.”
  4. James M. Cline (professor of physics at McGill University), The origin of matter, American Scientist 92(2):148, 2004.”
  5. James Gunn (Eugene Higgins Professor of Astronomy at Princeton University), in Cho, A., A singular conundrum: How odd is our universe? Science 317:1848–1850, p. 1850, 2007.”
  6. Karen Wright “Where did the Moon come from ?” Discover, 24:2 (Feb. 2003), p.63
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  8. Michael Zeilik & Elske Smith, Introductory Astronomy&Astrophysics (Philadelphia; Saunders College Publ., 1987), p.33(chapitre 7)
  9. Stephen Battersby “Our Unknown Solar System” New Scientist 201 : 2693 (31 Janvier. 2009) pp.29-35
  10. Anonymous, “Sun and planets constructed differently, analysis from NASA mission suggests, “www.sciencedaily.com, 2011, July 1
  11. Steven Weiberg, “Origins,” Science, 230:4721 (Oct 4, 1985), p.16
  12. Tim Folger, “The real big bang” Discover (Dec 2002), p.44
  13. Marcus Chown (astronomer) “Let there be light” New Scientist, 7 Feb 1998, p.30
  14. John Mather (a Senior Astrophysicist in the Observational Cosmology Laboratory located at NASA’s Goddard Space Flight Center), quoted in Chown, M., Let there be light, New Scientist 157(2120):30, 1998.”
  15. Neil deGrasse Tyson, Death by Black Hole and Other Cosmic Quandaries (New York: W.W Norton & Co., 2007), p.187
  16. Silk,J., The Big Bang, Freeman & Co, San Francisco, 1980, p1.
  17. Steven Weiberg, “Origins,” Science, 230:4721 (Oct 4, 1985), p.18.
  18. David Darlin, “On creating something from nothing,” New Scientist, Vol.151 (14 Sept 1996), p.46
  19. Eric Lerner (President of Lawrenceville Plasma Physics), Bucking the big bang, New Scientist 182(2448):20, 2004.”
  20. Robert Irion (Director, Science Communication Program, UC Santa Cruz), Surveys scour the cosmic deep, Science 303(5665):1750–1752, 2004.”
  21. Eric Lerner (President of Lawrenceville Plasma Physics), Bucking the big bang, New Scientist 182(2448):20, 2004.”
  22. Source: Crichton, Michael, Aliens cause Global Warming, 17 January 2003 speech at the California Institute of Technology (http://s8int.com/crichton.html or http://online.wsj.com/news/articles/SB122603134258207975 or http://stephenschneider.stanford.edu/Publications/PDF_Papers/Crichton2003.pdf)
  23. J.Horgan, “Profile : Fred Hoyle,” Science Americain 272:3 (1995), pp.24-25
  24. Halton Arp, Seeing Red : Redshifts, Cosmology and Academic Science (Montreal CAN : Apeiron, 1998), p.12
  25. T.G. Barnes, Foundations of Electricity and Magnetism, 3rd ed., El Paso, Texas, 1977
  26. Marcus Chown (cosmology consultant for New Scientist), End of the beginning, New Scientist 186(2506): 30, 2005
  27. https://en.wikipedia.org/wiki/Age_of_the_universe, (chapitre Assumption of strong priors, first line (accès en Juin 2020)
  28. Emily Conniver ,”New data fuel debate on universe’s expansion rate,” www.sciencenews.org, 2017 Feb 2
  29. Principia, Book III; cited in; Newton’s Philosophy of Nature: Selections from his writings, p. 42, ed. H.S. Thayer, Hafner Library of Classics, NY, 1953
  30. Extrait de : 612-613Jonathan Sarfati and Gary Bates. “Busting Myths.

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